Pourquoi commémorer ?

La guerre de 1870 est un évènement totalement oublié de notre histoire. S’il vient d’être réinscrit au programme des classes de première, il n’était plus enseigné depuis plus de 20 ans.

Pourtant, peu de guerres eurent autant de conséquences : avènement définitif de la République en France ; annexion de l’Alsace-Lorraine, ferment des guerres suivantes ; création de la nation allemande… Cette guerre inaugure une période de 75 ans au cours de laquelle, par trois fois, les deux pays combattront l’un contre l’autre. Une période qui se referme en 1945. Depuis 75 ans, grâce à la réconciliation franco-allemande, moteur de la construction européenne, nous vivons sur un continent en paix. Mettre en lumière la guerre de 1870 sert à rappeler combien l’Europe est nécessaire.


Les Guides des Lieux de Mémoire des deux sièges 1870-1871 en Ile-de-France

par Jean François DECRAENE

aux Editions Illustria – Librairie des Musées

L’AUTEUR

Jean-François Decraene est un ancien instituteur de l’Enseignement public. Après un passage dans l’industrie agro-alimentaire, il est pendant plus de dix ans formateur à l’Ecole de la deuxième chance de Seine-Saint-Denis pour la discipline “Civisme et Histoire”. Ses études, son expérience et sa passion l’amènent à rédiger plusieurs communications et ouvrages sur l’histoire sociale et les lieux historiques associés à la mémoire en France.

LA RENCONTRE AVEC LE SOUVENIR FRANCAIS

Association mémorielle reconnue d’utilité publique en 1906, la guerre de 1870-71 fait partie de l’ADN du Souvenir Français, créé en 1887. Les premières tombes entretenues par l’association furent celles des soldats tombés lors de ce conflit.

En 2020 et 2021, années du 150e anniversaire, Le Souvenir Français a souhaité mettre en lumière ce conflit oublié mais pourtant essentiel dans la compréhension de nos mondes contemporains. Le recensement des sépultures des combattants de 1870-1871 a été lancé et fait aujourd’hui l’objet d’un groupe de travail entre Le SF, le ministère des Armées (DMCA) et le Volksbund Deutsche Kriegsgräberfürsorge (VDK), afin de définir le degré d’intervention et de sauvegarde de ces monuments.

LES GUIDES DES LIEUX DE MÉMOIRE DES DEUX SIEGES

Depuis plus de trente ans, Jean-François Decraene accumule, collecte, analyse des archives, des documents iconographiques, etc. et fait un travail considérable de terrain sur les lieux de mémoire du conflit franco-prussien en Ile-de-France. C’est tout naturellement que l’auteur et Le SF se sont associés dans le projet de publication de ce précieux travail.

L’auteur travaille de concert avec Sylvie Gonzalez, conservatrice en chef du patrimoine honoraire qui a dirigé pendant près de trente ans le Musée d’art et d’histoire Paul Eluard de Saint-Denis. Elle réalise toute la recherche iconographique des ouvrages.

Pour toute information concernant le projet, vous pouvez contacter Alexandrine ESPINASSE : patrimoine@souvenir-francais.fr – 01 48 74 80 36

Guide des Hauts-de-Seine (92)

L’ouvrage, paru en 2020, recense 202 lieux de Mémoire.

Situées à l’ouest de la capitale fortifiée par Adolphe Thiers depuis 1844, toutes les municipalités du département sont touchées par les combats du siège prussien et par les séquelles de l’insurrection parisienne de La Commune. Une ceinture de forts extérieurs en assure la protection rapprochée : forteresse du Mont-Valérien, forts d’Issy, de Vanves, de Montrouge maintenant l’investissement prussien à 12 kilomètres des murailles de la capitale. Les hauteurs de Chatillon sont occupées dès le 19 septembre 1870. L’étau de fer ne s’ouvrira qu’après l’armistice du 28 janvier 1871, conséquence de la dernière sortie infructueuse et meurtrière de Rueil-Buzenval du 19 janvier. Les morts inutiles, à la suite des différentes tentatives pour briser l’encerclement prussien, nourriront un sentiment de révolte qui aboutira à l’insurrection de La Commune.

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Guide de Seine-Saint-Denis (93)

L’ouvrage, paru en 2021, recense 200 lieux de Mémoire.

Situées sur le flanc nord-est de la capitale fortifiée par Adolphe Thiers depuis 1844, toutes les municipalités du département sont touchées par les combats du siège prussien et par les séquelles de l’insurrection parisienne de La Commune. La première bataille du 28 au 30 octobre et la seconde le 21 décembre 1870 au Bourget, restent parmi les combats les plus meurtriers pour tenter vainement de rompre l’encerclement hermétique du siège prussien établit depuis le 19 septembre. Le 25 novembre, 10 000 soldats français s’élancent vers le plateau d’Avron, prélude à la nouvelle sortie infructueuse de Champigny. L’armistice du 28 janvier 1871 laisse le département exsangue, ruiné, occupé jusqu’au 10 octobre 1871.

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Lancement du Guide 93 au Musée de l’Air et de l’Espace du Bourget – 7/07/2021

Guide de Paris (75)

L’ouvrage, paru en 2022, recense 517 lieux de Mémoire.

Après la défaite de Sedan, à l’approche de trois armées allemandes, les arrondissements de l’ouest et du centre se vident de plus de 200 000 habitants qui trouvent refuge en province. Enfermée par le cercle du siège prussien le 17 septembre 1870, la capitale se transforme en une gigantesque caserne de 800 000 hommes, de toutes les armes et de tous les services. Paris est aussi un monumental hôpital constitué de 245 ambulances publiques et privées, hôpitaux militaires et civils mettant à la disposition des blessés plus de 7 000 lits. Du 5 au 20 janvier 1871, la rive gauche subit un déluge de fer et de feu. Le 28, sous la pression du froid polaire et de la faim, l’armistice est signé.

Après un siège de 65 jours par les troupes gouvernementales, celles-ci transforment la capitale en un immense abattoir pendant la Semaine sanglante, en écrasant la sédition parisienne de La Commune de Paris.

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Formation : Histoire et mémoire de la guerre de 1870

En décembre 2022, Le Souvenir Français a organisé une formation sur l’histoire et la mémoire de la guerre de 1870 au Lycée Louis-le-Grand. Elle a été proposée aux professeurs d’histoire-géographie, de Français, d’Allemand, aux professeurs documentalistes et aux professeurs intervenants dans les BTS tourisme des académies de Créteil, Versailles et Paris.

Vous pouvez télécharger le powerpoint présenté lors de cette formation en CLIQUANT ICI

Pour plus d’informations, vous pouvez écrire à education@souvenir-francais.fr

Guide du Val-de-Marne (94)

Sorti le 6 décembre 2024 – Lancement à Champigny-sur-Marne

Le département fait partie des flancs est et sud-est du siège de Paris par les Prussiens qui resteront en partie occupés par les forces allemandes après la signature de l’armistice du 28 janvier 1871. Du 28 novembre au 3 décembre 1870, le département déplore la mort de 9 500 soldats français et de 3 500 soldats de la coalition allemande au cours de la sortie infructueuse à briser le cercle de fer enfermant la capitale. Jusqu’en 1918, le village, théâtre de cette défaite, portera le nom de Champigny-le-Bataille. Du 23 mars au 28 mai 1871, l’armée d’occupation bloquera toute espérance de sortie des Fédérés de l’insurrection parisienne de La Commune vers l’est et le sud, lors du siège de la capitale par l’armée gouvernementale.

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Les prochaines publications :

2025 – Guide des Yvelines (78)

Les 262 municipalités du département des Yvelines, subissent les contres-coups de l’encerclement de la capitale avec plus ou moins de dommages selon leur taille et leur proximité avec le quartier général allemand installé à Versailles. Dès le 19 septembre 1870, l’état-major prussien installe l’administration d’occupation civile et militaire dans la préfecture en la reliant directement par télégraphe à Berlin. Le 18 janvier 1871, jour du couronnement de Guillaume de Prusse comme Kaiser du IIe Reich, Versailles est la capitale de l’Empire allemand. La population locale subit l’occupation avec la même neutralité bienveillante qu’elle accueille le gouvernement d’Adolphe Thiers s’exilant volontairement en mars 1871 en laissant Paris à l’insurrection de La Commune. La population rurale subit avec courage les exactions et les pillages de l’armée impériale jusqu’à son retrait fin juillet 1871.

2026 – Guide du Val-d’Oise (95)

Après le 30 septembre 1870, les troupes prussiennes occupent la rive droite de l’Oise, sillonnant de patrouilles les cantons de Marines et de Magny-en-Vexin, plaçant leurs avant-postes le long de la rivière de l’Epte, sur laquelle ils coupent les ponts de Bray-et-Lû, de Montreuil-sur-Epte et d’Aveny. Pontoise, ville de garnison et de passage, subit l’occupation avec un stoïcisme générateur d’une résistance plus que passive. Toutes les municipalités du département sont impactées par les exactions ennemies.

2028 – Guide de l’Essonne (91)

Le département, fait partie du flanc sud-est du siège prussien de Paris qui restera occupé par les forces allemandes après la signature de l’armistice du 28 janvier 1871. L’occupation des 196 communes répond pour l’armée allemande, à deux impératifs : finir par le sud le bouclage de l’encerclement de la capitale et éviter la jonction et le regroupement des débris de l’Armée de la Loire avec la Garde nationale locale pour venir au secours de Paris assiégé. Avec une population majoritairement rurale, l’Essonne est peu touchée par les idées révolutionnaires de La Commune et l’armée versaillaise trouve un terreau favorable pour le recrutement de volontaires pour combattre la sédition parisienne.

2030 – Guide de Seine & Marne (77)

Installé à Reims, le gouvernement militaire allemand de Champagne comprend les départements de La Marne, des Ardennes, de l’Aisne et de la Seine-et-Marne détachée de l’Île-de-France. Le 22 octobre 1870, le comte de Fürstenstein s’installe à Melun, comme préfet prussien chargé de l’administration civile et de la coordination avec les représentants français des 510 communes du département.

Essentiellement rural, le territoire sert de réserves vivrières et de base arrière aux troupes d’occupation assiégeant la capitale. La gare de Chelles est la tête de pont pour l’arrivée des troupes de relève des régiments assiégeant Paris. Les entrepôts des gares de triage de Pomponne et de Torcy emmagasinent le fruit des rapines de tous les biens meubles pillés dans les maisons abandonnées et dans les magasins spoliés avant d’être expédiés aux antiquaires berlinois.

Retrouvez cet épisode sur votre plateforme d’écoute préférée !

Jean-François DECRAENE raconte au micro du Souvenir Français l’histoire de Marie-Antoinette LIX.

Oubliée du grand public, celle qu’on surnommait “Tony” s’engagea durant la guerre de 1870-1871 alors même que les femmes n’avaient pas le droit de combattre en tant qu’officier. Elle dû se travestir pour mener ses hommes à la victoire.

Découvrez le destin extraordinaire de cette alsacienne qui a combattu pour défendre sa région et ses valeurs.


Les actions du Souvenir Français dans la commémoration du 150e anniversaire

(2020 – 2021)

Le timbre commémoratif

L’exposition

Télécharger la présentation de l’exposition

Les médailles de table

Télécharger le bon de commande

La cuvée de champagne

Informations pour commander

La newsletter

Télécharger la newsletter du comité associatif n°1 auf Deutsch

Télécharger la newsletter n°2, avril/juin 2020

Télécharger la newsletter n°3, juillet 2020

Télécharger la newsletter n°4, août 2020

Télécharger la newsletter n°5, septembre 2020

Télécharger la newsletter n°6, octobre 2020

Télécharger la newsletter n°7, novembre 2020

Télécharger la newsletter n°8, décembre 2020

Télécharger la newsletter n°9, janvier 2021

Télécharger la newsletter n°10, février-mai 2021

Télécharger la newsletter n°11, mai-août 2021

Télécharger la newsletter n°12, bilan

Les recueils

Recueils départementaux des lieux matérialisés de la mémoire de la guerre de 1870-1871

Les ouvrages

Sur les pas du soldat Jules Reutinger, Soldat du 1er Régiment d’Infanterie de Marine (1870-1871)

Par Etienne Rohmer

Les carnets de campagne de 1870 du soldat Reutinger sont retrouvés et transcrits. L’auteur a souhaité compléter ce récit par des documents, photos et dessins et en se rendant sur les lieux pour retrouver exactement les sites dont il est question. Les voies de chemin de fer abandonnées, les sorties de bois, lieux de combats, les fermes, lieux de replis, les tombes. « Sur les pas du soldat » est donc aussi une histoire dans l’histoire, une quête personnelle, un hommage, voire un questionnement sur le sens de l’histoire. Cette histoire de soldat, teintée du délicieux parfum d’un parcours initiatique, lui donne un sens éminemment jubilatoire.

Bon de commande

1870 La guerre vue de Tarn-et-Garonne 

Par Luc Corlouër

Le bataillon de Tarn-et-Garonne fut le plus malheureux de la guerre de 1870. Il parcourut 600 kilomètres ! Les mobiles (soldats) du bataillon  marchèrent 600 kilomètres dans l’est de la France pendant les quelques mois que dura la guerre de 1870-1871. Sans jamais rencontrer l’ennemi, mais cela n’empêcha pas le bataillon d’endurer de sévères pertes, en effet dans le secteur de Montbéliard un bombardement provoqua la mort de 9 officiers et de 200 hommes. 1870 guerre perdue, défaite rarement évoquée. Nous suivrons journée après journée les pérégrinations des mobiles de Moissac, Montauban et Castelsarrasin et marcherons avec eux vers les frontières de l’est.


La création d’un comité associatif 1870-1871

LES ASSOCIATIONS GÉNÉRALISTES

Le Souvenir Français

Le Souvenir Napoléonien

VDK (Service pour l’entretien des sépultures militaires allemandes) à Metz

La Sabretache

LES AMICALES RÉGIMENTAIRES

Association nationale des réservistes de l’infanterie

Commission Histoire Musées Musiques de la Fédération des Pompiers

Fédération des anciens des forces françaises en Allemagne et en Autriche

Union nationale des anciens des chasseurs d’Afriques

Union nationale des Zouaves

LES MUSÉES

Citadelle du pays de Bitche

Fondation Clemenceau

Fonds de dotation du Mémorial de Loigny

Fort de Queuleu

Historial militaire de Chartres et de l’Eure et Loir

Loigny-la-Bataille

Musée de la bataille du 6 août 1870 Woerth

Musée de la guerre de 1870 et de l’Annexion

Musée de l’histoire de Rosny-sous-Bois

Musées et citadelle de Belfort

LES ASSOCIATIONS D’AMIS DE MUSÉE

Les Amis du Musée de Meaux

Les Amis de Sonis Loigny

Société des Amis du Musée de l’Armée

Société des Amis de Georges Clemenceau

Société des Amis du Musée de la Gendarmerie

LES ASSOCIATIONS DE RECONSTITUEURS

Actions 1870

Les Arquebusiers de l’Est

La Cartouchière

Mémoire de Poilus

Unifeurope

LES ASSOCIATIONS HISTORIQUES NAPOLÉONIENNES

Association du Patrimoine Napoléonien

Les Amis de Napoléon III

Les Vosges Napoléoniennes

LES ASSOCIATIONS RÉGIONALES

150 ans du Camp des Bretons de Conlie

Association historique et archéologique du Cubzaguais (ARHAL)

Belfort 1870-1871

Collectif 150e Savoie

Fédération des Amis du Perche

Guerres-en-Vosges

Histoirepopulaire.com

Les Amis de l’histoire de Beaune-la-Rolande

Les Vosgiens de Paris

Mémoire et Histoire

Patrimoine de Béthoncourt

Société d’histoire et d’archéologie de la Lorraine

Société d’histoire et d’archéologie du Sedanais

Société historique de Villiers sur Marne

Société Erckmann-Chatrian

LES ASSOCIATIONS THÉMATIQUES

Les Garibaldiens

La Fédération française de Généalogie

Loire 1870

LES ASSOCIATIONS D’HISTOIRE ALLEMANDES

Vereins für Geschichte und Naturgeschichte der Baar

Württembergischen Geschichts und Alterumsvereins

LES ASSOCIATIONS DE MÉDAILLÉS MILITAIRES

Association française des Décorés du Mérite allemand

Société Nationale d’Entraide de la Médaille Militaire

AUTRES

Base de données monuments aux morts – IRHiS, Université Lille 3

La Croix Rouge française

Loire 1870


Le comité scientifique 1870-1871

Président

Jean-François Chanet, Recteur de l’Académie de Besançon, professeur des universités, chercheur au Centre d’histoire de Sciences Po. Spécialiste de l’école de la IIIème République et de l’enracinement de l’idée de la Nation au 19ème siècle.

Les Historiens spécialistes de l’Histoire culturelle de la Guerre de 1870-1871

Maartje Abbenhuis, Professeur d’histoire contemporaine (University of Auckland)

Fabien Conord, Professeur des universités en histoire contemporaine (Université Blaise-Pascal Clermont-Ferrand II). Spécialiste d’histoire politique et culturelle de la France contemporaine.

Rémi Dalisson, Professeur des universités en histoire contemporaine à l’université de Rouen. Spécialiste d’histoire culturelle et d’histoire mémorielle.

Jean-François Decraene, Historien, membre du Souvenir Francais et spécialiste des lieux de mémoire de 1870-1871.

Bruno Dumons, Historien, directeur de recherches (CNRS), diacre permanent du diocèse de Lyon. Spécialiste de l’histoire religieuse de la France contemporaine (19ème – 20ème siècle).

Etienne François, Professeur d’histoire contemporaine (université libre de Berlin), fondateur du centre Marc Bloch (Berlin). Spécialiste de l’histoire sociale et culturelle française et allemande.

Jean-Claude Gardes, Professeur de littérature et de civilisation allemandes (Université de Brest).

Sylvie Gonzalez, Conservateur en chef du patrimoine, directrice du Musée d’art et d’histoire de Saint-Denis.

June Hargrove, Professeure d’histoire de l’art (Université de New-York). Spécialiste de la sculpture française du 19ème et notamment des monuments commémoratifs entre 1870 et 1914.

Ursula E. Koch, Professeure émérite en Sciences de la communication (Université Ludwig-Maximilian de Munich), Cofondatrice de l’Equipe Interdisciplinaire de Recherche sur l’Image Satirique. Spécialiste de l’histoire de la presse et des relations franco-allemandes dans le domaine des médias.

Christine Krüger, Docteure en histoire contemporaine (université Justus-Liebig, Giessen). Spécialiste de la guerre de 1870 (perception de la violence ; sort des Juifs allemands).

Jean-François Lecaillon, Docteur en histoire (Université Paris 1), historien spécialiste du témoignage et de la mémoire de la guerre de 1870.

Michele Martin, Professeur émérite en histoire socio-culturelle des médias (Carleton University).

Neil McWilliam, Professeur d’histoire de l’art (Duke University). Spécialiste de l’histoire culturelle et intellectuelle de la France au 19ème siècle.

Renaud Meltz, Professeur d’histoire contemporaine (Université de Haute-Alsace). Spécialiste du rôle des opinions publiques dans les relations internationales de 1815 à nos jours.

Pauline Piettre, Maître de conférences en histoire (Institut Catholique de Paris). Spécialiste de l’histoire de l’opinion publique, de la presse et des représentations.

Jörg Requate, Professeur d’histoire contemporaine (Université de Kassel).

François Robichon, Historien de l’art, professeur à l’université de Lille-III, membre des conseils scientifiques du Musée de la Grande Guerre (Meaux) et du Musée de la Guerre de 1870 et de l’Annexion (Gravelotte). Spécialiste de l’iconographie militaire.

Bertrand Tillier, Professeur d’histoire contemporaine (Université Paris 1). Spécialiste des images et de la politique.

Stéphane Tison, Maître de conférences en histoire contemporaine (Université du Mans). Spécialiste des guerres de 1870 et 1914-1918 sous l’angle des traumatismes collectifs (commémorations) et individuels.

Robert Tombs, Professeur d’histoire (St John’s College, université de Cambridge). Spécialiste de l’histoire française du XIXème siècle et notamment de la culture populaire.

Karine Varley, Professeure d’histoire contemporaine (University of Strathclyde, Glasgow), spécialiste de la mémoire de la guerre de 1870.

Jakob Vogel, Directeur du centre Marc Bloch (Berlin), professeur d’histoire européenne des 19ème et 20ème siècle.

Les Historiens spécialistes du Second Empire

Eric Anceau, Maître de conférences habilité à diriger des recherches (Sorbonne Université). Spécialiste et biographe de Napoléon III.

Yves Bruley, Maître de conférences à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE). Spécialiste de l’histoire de la diplomatie.

Stéphanie Burgaud, Maître de conférences en histoire contemporaine (Science Po Toulouse). Spécialiste de l’histoire allemande et russe et des relations internationales au 19ème siècle.

Les Historiens spécialistes de l’Histoire militaire franco-allemande de 1870-1871

Walter Bruyère-Ostells, Professeur d’histoire contemporaine (Sciences Po Aix), spécialiste de l’histoire militaire et de Napoléon III.

Antoine Champeaux, Docteur en histoire, conservateur du musée des troupes de Marine (Fréjus).

Rachel Chrastil, Professeure d’histoire contemporaine (Xavier University). Spécialiste de l’expérience des civils lors de la guerre.

François Cochet, Professeur émérite en histoire contemporaine (université de Lorraine-Metz).

Jean-Noël Grandhomme, Professeur d’histoire contemporaine (Université de Lorraine, Metz). Responsable de l’axe « Politique, pouvoirs, guerres et conflits ».

Dr Mareike König, Directrice de la bibliothèque et du département XIXème siècle (Institut historique allemand, Paris).

Erwan Le Gall, Doctorant en histoire contemporaine (Université Rennes 2), membre du comité de rédaction de la revue En Envor, revue d’histoire contemporaine en Bretagne.

Sylvie Le Ray-Burimi, Conservatrice en chef du patrimoine au Musée de l’Armée.

Eric Necker, Conservateur en chef du patrimoine, chef de service de la conservation des musées et expositions du Conseil départemental de Vendée, ancien conservateur au musée de Gravelotte, spécialiste de l’histoire des 19ème et 20èmes siècles.

Henri Ortholan, Colonel (e.r.), saint-cyrien, docteur en histoire, diplômé de l’Ecole du Louvre, ancien conservateur au musée de l’Armée.

Marie-Louise von Plessen, Historienne, sociologue et historienne de l’art, commissaire d’expositions politico-culturelles à travers l’Europe.

Marie-France Sardin, Historienne.

Benoît Vaillot, Doctorant en histoire contemporaine (EHESS). Thèse en cours sur la frontière franco-allemande (1871-1914).

Nicolas Vignos, Historien, président de l’association Belfort 1870-1871.

Arndt Weinrich, Professeur d’histoire contemporaine, lecteur à Sorbonne Université, membre du Comité directeur du Centre de Recherche de l’Historial de la Grande Guerre, Péronne.

Thomas Weissbrich, Responsable des collections militaires du Musée historique allemand (Berlin). Spécialiste des conflits franco-allemands du 19ème siècle.

Les Historiens spécialistes des conséquences européennes de la Guerre de 1870-1871

Alexandre Dupont, Maître de conférences en histoire contemporaine (Université de Strasbourg), auteur d’articles sur les volontaires espagnols dans la guerre de 1870.

Arthur Hérisson, Maître de conférences en histoire contemporaine (Université Saint Quentin en Yvelines).

Jean-Pierre Jelmini, Historien, président d’honneur de l’Institut neuchâtelois. Spécialiste de l’armée de Bourbaki en Suisse.

Fabrice Jesné, Maître de conférences (Université de Nantes), directeur des études pour les époques moderne et contemporaine (Ecole française de Rome). Spécialiste de l’histoire italienne du 19ème siècle.

Philippe Kaenel, Professeur d’histoire de l’art (Université de Lausanne).

Eva Lafuente, Professeur d’histoire contemporaine (Ecole polytechnique).

Gilles Pécout, Recteur de l’Académie de Paris, professeur des universités. Spécialiste de l’histoire politique et culturelle de l’Italie au 19ème siècle.

Gilles Vogt, Docteur en histoire contemporaine (Université de Strasbourg).