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4 décembre 2023

La mémoire à travers les livres

Les livres de nos adhérents

Gérard Piron, Soldats bretons au Moulin d’Our 1914-1918, 2023

Le 23 août 1914, quatre soldats bretons se retrouvent isolés dans les bois, lors de la sanglante bataille de Maissin. Ne pouvant rejoindre leurs lignes, ils sont secourus par la famille du meunier d’Our. D’autres personnes leur apportent également une aide bien nécessaire. C’est cet épisode que Gérard Piron, cultivateur à Our et arrière-petit-fils du meunier nous raconte, après de longues recherches particulièrement fouillées auprès de différents services. Plus de 100 ans après les faits, elles aboutiront aussi à des retrouvailles improbables avec des descendants de ces soldats.

Pour en savoir plus : Monsieur Gérard Piron, +32475718499

Les autres livres du mois

André-Paul Comor, Histoire du 1er Régiment étranger de parachutistes 1948-1961, Des rizières d’Indochine au putsch d’Alger, Perrin, 2023

Histoire et déclin d’un régiment d’élite, pris dans la tourmente des guerres de décolonisation.

Le 1er régiment étranger de parachutistes occupe une place singulière dans l’histoire de la Légion étrangère. Simple bataillon créé au début de la guerre d’Indochine à Sidi Bel Abbès, il est entré dans la postérité pour avoir été le fer de lance de la « fronde des généraux » d’Alger, qui a provoqué sa dissolution par le général de Gaulle le 30 avril 1961. Dès novembre 1948, il est engagé au Tonkin, où il fait ses premières armes jusqu’à sa destruction au cours de la bataille de la RC4 (septembre-octobre 1950). Le 1er REP est une nouvelle fois anéanti pendant la bataille de Diên Biên Phu.

Transformé en régiment d’intervention à son retour en Algérie, rattaché à la 10ème division parachutiste du général Massu, il participe à la campagne de Suez, aux batailles d’Alger (1957) et des frontières (1958) et aux grandes opérations du plan Challe (1959-1961). L’histoire retient que le régiment a connu depuis sa création du bataillon quatorze chef de corps, dont quatre par intérim, et surmonté plusieurs crises qui, sans le socle des traditions légionnaires servies par les caractères d’exception de son encadrement, auraient pu compromettre son unité.

Pour en savoir plus : solene.reynier@editions-perrin.com

Guillaume d’Andlau, Le KL Natzweiler-Struthof, Un camp de concentration en Alsace annexée, 2023

Là-haut, sur la montagne, était un des camps de concentration nazis les plus meurtriers de la Seconde Guerre mondiale, plus de 17 000 morts pour 52 000 déportés : le KL Natzwiller. Moins vaste, moins connu que Dachau, Buchenwald, Mauthausen, le camp de Natzwiller-Struthof, construit en 1941 en Alsace annexée, est le seul camp de concentration nazi existant sur le territoire français actuel. Guillaume d’Andlau, directeur du Centre européen du résistant déporté de 2019 à 2023, s’est imprégné de ce site qui interpelle, interroge, rappelle la fragilité de la démocratie et de l’homme. Animé par la complexité et la dualité du lieu, mu par les rencontres avec les derniers témoins de l’horreur, Guillaume d’Andlau partage, au fil de ces pages, des clés pour appréhender le KL.

Il livre l’histoire du camp en l’inscrivant dans celle plus large du système concentrationnaire, mais aussi dans celle plus intime, personnelle ou collective, des déportés.

Des mots sur des maux, une approche croisée multidimensionnelle qui facilitent l’appropriation du camp et appellent à réfléchir seul, en groupe, intérieurement ou publiquement.

Pour en savoir plus : https://www.decitre.fr/livres/le-kl-natzweiler-struthof-9782367012926.html

Jean-François Kieffer, Jeannette et Jojo, Le Bois Brûlé (tombe 8), Mame éditions, 2023

L’histoire commence un 11 novembre au milieu des années 1960 : Jeannette et Jojo participent dans leur petite village de Meuse à une célébration commémorative, et un petit événement imprévu va venir réveiller de lointains souvenirs enfouis dans la mémoire d’Edmond et Marguerite, leurs parents adoptifs ; cela décide ces derniers à raconter « leur guerre », celle de 14-18, moment de leur rencontre où ils se sont risqués à monter jusqu’aux lignes de combat, lui cherchant son père, elle, son chien oublié au moment du départ sur les routes de l’exil.

Une alternance de cases sépia (pour le récit de la Grande Guerre) et de cases en couleur (pour le « présent » des années 60) rythme cette BD qui allie un scénario palpitant et des moments plein d’humour avec des scènes chargées d’émotion, qui feront réfléchir les enfants et les familles d’aujourd’hui.

Pour en savoir plus : https://www.mameeditions.com/9782728933617-le-bois-brule.html

Patrick Charriez, CHAMPS DE PAIX, du désespoir de la Grande Guerre à l’espérance pour l’Humanité, Editions Rhéartis, 2022

Note de l’éditeur : Qui veut la paix, prépare la paix. Né à Bayonne, ingénieur océanographe et notamment professeur de mathématiques, Patrick Charriez a écrit un recueil de poèmes sur la Grande Guerre. Par la puissance et la beauté de ses mots, illustrés notamment de photographies d’époque, Patrick Charriez réalise dans ce livret une ode poétique à la mémoire des combattants de la Grande Guerre, et à la Paix. Le texte se compose de trois parties : champs de guerre, forêts de vie, et champs de paix, chants d’amour.

Pour en savoir plus : https://librairie.bod.fr/champs-de-paix-patrick-charriez-9782322161874

Charles Rémond, MEMOIRES D’OUTRE-MER, Vie et carrière coloniale d’un magistrat sous la IIIème République, Vérone Editions, 2023 (Réédition)

La vie d’un adolescent bourguignon devenu adulte, décrite modestement sur de simples cahiers scolaires, tout au long d’un parcours riche d’événements familiaux et professionnels, jusqu’au terme, à Hanoï, d’une carrière de magistrat outre-mer. Toutes les pages de ce journal personnel, rédigées avec talent, nous permettent de redécouvrir un homme de la IIIème République, provincial libéral, patriote convaincu et fonctionnaire dévoué durant toute sa carrière coloniale de 1891 à 1918, qui l’entraîna donc, avec femme et enfants, de l’Algérie à l’Indochine, en passant par la Nouvelle-Calédonie et la Guadeloupe. Les nombreuses photographies d’époque viennent illustrer l’ouvrage. Au fil de ce récit, vous découvrirez des voyages et séjours émaillés de multiples découvertes et de rencontres sur fond de mission judiciaire.

Note de l’auteur : « Tout débuta par une série de cahiers sommairement brochés et retrouvés par bonheur il y a quelques années. Ils rassemblaient les notes rédigées par mon grand-père, Charles Rémond, à partir de son adolescence bourguignonne à Nolay et Dijon (1869) jusqu’au terme de sa carrière coloniale dans la magistrature (1918). Périples maritimes et séjours émaillés de multiples découvertes, d’anecdotes savoureuses, de témoignages parfois troublants et toujours vivants, de descriptions sachant allier rigueur quasi scientifique et poésie. Evénements extraordinaires évoqués avec vigueur : une tempête mémorable, l’annonce bouleversante de l’éruption de la Montagne Pelée… ou bien, dans l’exercice direct de ses fonctions, l’inspection d’un bagne en Nouvelle-Calédonie, le compte-rendu de débats d’Assises surprenants, ou simplement la vie coloniale, éprouvante mais aussi passionnante. »

Pour en savoir plus : www.editions-verone.com

Françoise Demougin, La promesse de l’oubli, Roubaix 1888 – Mont-Valérien 1943, Editions Tirésias,

Note de l’éditeur : Il tombe sous les balles des nazis, il vient d’être assassiné, et l’imaginant à l’instant où les coups de feu claquent, je ne peux que savoir que la mort d’un poète est un meurtre à l’espoir. Il a pour nom Jules Dumont et depuis trop longtemps tous voulurent l’oublier, l’omettre des pages glorieuses de notre Histoire, de notre grandeur, de notre Résistance. Dès les premiers instants de ce livre en lisant les lettres, récoltées par l’auteure, du futur fusillé nous allons sur les sentiers de la gloire et de l’écrit. Ce roman écrit par sa petite-fille fait fi à cet oubli, et nous donne pâture à une écriture à découvrir. Car cet enfant du peuple, de condition modeste, d’un milieu d’ouvriers laissera trace dans la pensée du Parti communiste français tant par ses écrits, que ses combats, son militantisme, sa loyauté. Lui, le croyant, le pratiquant, le religieux jusqu’aux tripes devient l’image même de la jeunesse de notre civilisation quand il s’engagera auprès de la classe ouvrière et qui deviendra le chant de ses espoirs, le sacerdoce de ses engagements, un militant. Il fut combattant de tous les conflits du XXème siècle de la pacification du Maroc, à la guerre de 14-18, mais aussi aux côtés du Négus en Abyssinie, et encore avec les républicains en Espagne, et toujours résistant contre l’occupant nazi et ses sbires.

L’auteure Françoise Demougin-Dumont nous concocte un texte où la passion, l’imaginaire, le voyage, l’amour, la quête de justice se mêlent comme si la réalité était allégorie et le fictif une vérité qui anoblit la destinée du héros.  

Pour en savoir plus : https://editionstiresias.com/produit/la-promesse-de-loubli/

Charles Sancet, Les femmes des PTT et la Seconde Guerre mondiale, Editions Tirésias, Préface de Laurence Thibault

Note de la maison d’édition : Peu de pages nous furent laissées, lues, racontées, écrites. Presque rien ne fut dit sur ces actes et ces centres. Trop de pages blanches dans notre histoire sur ces deux-cent-vingt-quatre Femmes dont l’auteur dans cet ouvrage exhume et témoigne de leurs actions en nous dévoilant en inédit cet engagement au féminin. Son travail et ses recherches rendent justice et terrassent cet oubli de notre mémoire collective à l’égard de ces Femmes des PTT. Résistante, déportée, amie des juifs et tant d’autres engagements ici défilent, dans ces pages, leurs histoires, leurs témoignages qui nous informent, nous font connaître, partager, quelquefois pleurer et creusent pour notre mémoire ce sillon de savoir pour ces luttes.

Les Demoiselles des Postes, Télégraphes et Téléphones ont agi, de la fin 1939 à 1945, dans le cadre de leurs fonctions, souvent à l’encontre des règles déontologiques, en transmettant à la Résistance des informations capitales. Elles ont été l’oreille, la parole, la main ; passeuses, sauveuses, passerelles, aides inlassables de l’armée des Ombres, opposantes idéales à l’Occupation. Elles ont été ces grains de sable qui ont grippé les rouages nazis sur notre territoire. Charles Sancet nous livre ici de précieuses indications sur le féminisme dans notre société, ses luttes et son rôle aux heures du combat et de la solidarité, il ajoute avec cette histoire au féminin une pierre à la construction de notre mémoire.

Laurence Thibault, vice-présidente du Souvenir Français a fait la préface de cet ouvrage.

Pour en savoir plus : https://editionstiresias.com/produit/les-femmes-des-ptt-et-la-seconde-guerre-mondiale/

Les recommandations culturelles de François Rousseau

Ivor Matanle, 39-45, Le grand atlas de la Seconde Guerre mondiale, Glénat ED, 2023

A partir de documents d’archives, cet ouvrage encyclopédique propose une histoire militaire concise et extrêmement détaillée, de tous les événements marquants du conflit, sur l’ensemble des théâtres d’opérations, de l’Europe au Pacifique.

Signe des temps, depuis la première édition il y a 3 ans, l’intérêt principal du lecteur a dû changer, puisque l’illustration de couverture est passée d’un soldat américain lors de la bataille des Ardennes à l’exode des civils français en 1940.

L’auteur, dont l’impartialité est adoubée par les préfaces des fils de Montgomery et Eisenhower, a pris le parti durant ses 7 années de travail, d’un observateur neutre pour décrire les actions militaires et la personnalité des principaux protagonistes. Les photographies sont republiées ici pour la première fois depuis leurs parutions dans les journaux de l’époque.

Ivor Matanle analyse bien la situation de 1940, bien cachée à l’époque à l’opinion publique française : « L’armée française était un colosse aux pieds d’argile qui allait affronter la force mécanisée la plus professionnelle du monde. Ceux qui la commandaient au plus haut niveau ne possédaient pas les capacités voulues ». Il souligne la « belle victoire » de l’armée des Alpes du général Olry, qui préserva la future zone sud de l’invasion.

Dans la multitude des combats de la guerre, ceux concernant les Français sont à peine ou même pas toujours évoqués, il en va ainsi des 177 du commando Kieffer à Ouistreham. De la différence entre notre point-de-vue national et la vision mondiale du conflit !

Deux cahiers de documents en couleur illustrent quelques faits marquants et donnent un aperçu des collections de l’Imperial War Museum de Londres. Pour la photo des Champs-Élysées le 26 août 1944, on peut même ajouter à la légende que c’est le semi-chenillé Kichi Kichi de la 10e compagnie du Régiment de Marche du Tchad qui ouvre le défilé.

Par Ivor Matanle historien britannique, 416 pages, 1500 illustrations noir et blanc et 2 cahiers couleur, broché avec rabats, 3e édition, Éditions Glénat collection Histoire, septembre 2023, prix 39,95€

Diane Grillère, L’autre occupation, L’Italie fasciste en France, Editions Nouveau monde, 2023

L’Italie, qui s’estime lésée par le Traité de Versailles, ne reste pas longtemps du côté des pays alliés après la Grande Guerre. Pourtant, des tentatives de rapprochement ont lieu dans les années 30, qui s’achèvent avec la conférence de Munich.

Finalement, l’Italie n’entre en guerre contre la France que le 10 juin 1940 dans l’espoir de conquêtes territoriales ouvertement revendiquées. L’impréparation de l’armée et l’absence de stratégie militaire face aux fortifications françaises défendues par l’armée des Alpes du général Olry, conduisent à un début de défaite militaire stoppée par l’armistice rapidement signé le 24 juin.

L’occupation qui suivit cantonnée aux Alpes puis à la rive gauche du Rhône fin 42, devient un marchepied pour les projets d’annexion de Mussolini, nostalgique de l’œuvre civilisatrice et du prestige de l’empire romain, même s’il n’en a pas les moyens. Cette occupation est restée dans l’ombre de l’histoire de celle mise en place par les Allemands, plus dure et plus longue.

D’un point de vue diplomatique, les relations entre Vichy et l’Allemagne sont bien différentes de celles entretenues avec Rome. L’Occupation est d’abord militaire puis administrative, mais des documents d’archive inédits apportent une lumière nouvelle sur les projets économiques italiens qui s’inscrivent dans la politique d’extension territoriale fasciste, tout en faisant face aux intérêts allemands contradictoires.

La présence italienne en France peut se décomposer en 2 phases, de l’été 1940 au 11 novembre 1942, puis de l’occupation de la zone Sud jusqu’à l’armistice entre le gouvernement du maréchal Badoglio et les Alliés le 8 septembre 1943. Dès la fin 1942, au milieu des autres revendications territoriales, la présence italienne à Menton se rapproche de l’annexion sur le modèle de l’Alsace-Moselle par les Allemands.

La politique suivie à l’égard des juifs, soustraits aux persécutions vichystes, ne serait en fait lorsqu’on étudie les archives, qu’une habile tactique pour affirmer sa souveraineté face à Berlin. L’important ouvrage, déjà très détaillé sur la période de l’entre-deux-guerres, interroge sur les continuités et ruptures entre les deux périodes d’occupation, marquées par quelques périodes éphémères de rapprochement.

Par Diane Grillère docteure en histoire avec une préface de Georges-Henri Soutou, 632 pages, broché, Nouveau monde éditions, septembre 2023, prix 25,90€

Guillaume Picon, La France sous l’occupation, Glénat Editions, 2023

Dans ce livre qui raconte la France des années noires, une place importante est accordée aux contraintes de la vie quotidienne de la population. En effet, le pays entier n’avait jamais connu dans son histoire une occupation aussi longue. Les images mises en couleur confèrent une dimension nouvelle à cet événement qui commence par le défaitisme de la fin des années 30.

La campagne de 1940 est perdue par le haut commandement français, prisonnier d’une stratégie strictement défensive. Le regard des ministres du gouvernement de Pétain réunis à Vichy le 12 juillet 1940 pour la traditionnelle photo souvenir, n’est pas de bon augure pour l’avenir du pays.

La pénurie d’essence réveille l’imagination pour trouver d’autres moyens de transport. La propagande met en scène les nombreux voyages du maréchal Pétain que l’on aperçoit au Puy-en-Velay devant une foule immense.

Les photos révèlent aussi les conséquences de la guerre sur le territoire, de l’annexion de l’Alsace-Moselle à la construction du Mur de l’Atlantique. Vision symbolique de l’annexion illustrant la violation de l’armistice, le théâtre municipal de Strasbourg, maquillé avec les drapeaux officiels de l’Allemagne d’alors. L’enchevêtrement des Renault Celtaquatre au lendemain du bombardement de Billancourt illustre la collaboration économique.

Le découpage par année met l’accent tour à tour sur les prisonniers face au triomphe des soldats allemands à Paris en 1940, l’encadrement de la jeunesse par le régime de Vichy par des affiches, l’importance du marché noir face au rationnement. Les prisonniers ont encore droit aux photos de propagande lorsqu’il faut justifier la relève en 1942. La vue des chars allemands arrivés à Marseille le 11 novembre, attire la curiosité de la population.

Le 26 avril 1944, alors que les exactions de Darnand se multiplient, Pétain est acclamé à Paris où il s’est rendu à la demande des Allemands. Enfin, de nombreuses photos illustrent le Débarquement et les villes libérées.

Par Guillaume Picon avec une préface du colonel Frédéric Guelton, 192 pages, 200 photos noir et blanc mises en couleur, relié, Éditions Glénat collection La Seconde Guerre mondiale en couleurs, octobre 2023, prix 39,95€

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