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19 novembre 2019

LES LIVRES

OPEX, UNE HISTOIRE DES OPERATIONS EXTERIEURES DEPUIS 1963

Des vies pour la France

Ils sont plus de 500 à avoir perdu la vie sur des terres lointaines, tombés au service de la France dans l’accomplissement de leur devoir. Ils ont laissé dans le cœur de leurs proches et de leurs camarades un vide immense, et parfois une incompréhension lancinante. Quel est le sens de ces vies données lors de guerres oubliées, loin de leurs foyers ? Comment guérir de l’absence, lutter contre l’oubli et donner du sens à ces sacrifices ?

Le nom de chacun de ces hommes devrait être gravé dans la mémoire de ses compatriotes et célébré avec respect et émotion. Au cours de cette histoire des Opérations Extérieures menées par la France depuis 1963, chacun de ces soldats est évoqué dans  le contexte qui l’a vu tomber. Cette mise en perspective des combats menés par la France sur des fronts lointains, explicités à la lumière de sa politique extérieure, a pour but de donner du sens à cette action. Notre pays a toujours voulu se donner les moyens d’une politique internationale ambitieuse, au service des intérêts et de la défense des valeurs chères aux Français. Sans le courage et le sens du devoir de nos soldats, une telle aspiration serait vaine. Voici donc l’histoire de la politique étrangère française en action, étroitement mêlée à celle de ces hommes qui font l’Histoire.

Pour soutenir cet ouvrage : https://www.historien-conseil.fr/achetez-nos-ouvrages/achetez-nos-ouvrages/nos-ouvrages-historien-conseil/7756-opex-une-histoire-des-operations-exterieures-depuis-1963.html

LA TRANCHÉE DES PONCIFS,  Général Elrick Irastorza

Les mythes de la Grande Guerre décryptés

Les Français ne pensaient qu’à la revanche ; les poilus sont partis la fleur au fusil ; les offensives n’ont servi à rien ; les gaz ont été la plus meurtrière des armes ; les poilus ont été envoyés ivres à l’abattoir ; les civils ont été épargnés ; la Marine n’a rien fait ; les tirailleurs sénégalais ont été sacrifiés pour sauver les Français ; les généraux étaient des planqués ; l’humiliation de l’Allemagne a provoqué la Seconde Guerre mondiale… Autant d’idées reçues à propos de la Première Guerre mondiale qui ont la vie dure !

Dans cet essai, le général Elrick Irastorza descend dans cette « tranchée des poncifs » pour combattre ces mythes, ces contre-vérités et ces « fake news » de la Grande Guerre.

LES PLUS BEAUX  MANUSCRITS DU GENERAL DE GAULLE,  

Jean-Pierre Guéno

Pur produit de la génération de Gaulle, guéri de tout esprit d’idolâtrie par les événements de mai 1968, Jean-Pierre Guéno a voulu réaliser cet ouvrage pour révéler les aspects attachants et méconnus d’un grand homme, tissé d’ombre et de lumière, forgé dans l’épreuve, dans l’action et nourri à grand renfort d’éthique, d’espoir, d’obstination et de foi en l’humanité.

Contact : c.giglio@hugoetcie.fr

DEVISES DE L’ARMEE FRANCAISE, Alban Pérès

Des cris de guerre retentissant sur les champs de bataille du Moyen Âge aux sentences visibles sur les insignes, écussons et autres fanions des unités contemporaines, les devises ont depuis toujours accompagné les militaires. Si un certain nombre d’entre elles sont célèbres, beaucoup sont tombées dans l’oubli. Qui se souvient des histoires qui se cachent derrière ces mots ? Qui connaît encore le nom des braves dont les actes ont forgé ces sentences ? C’est pour établir un répertoire, ainsi que lever le voile sur l’origine d’une partie de ces devises et sur leurs significations parfois peu intelligibles que ce livre a vu le jour. Ce sont ici plus de 1 600 devises qui sont recensées, correspondant à plus de 4.000 unités de l’armée de terre, de la marine, de l’armée de l’air et de la gendarmerie. L’ensemble de ce corpus est abondamment illustré car bien souvent, l’image accompagne les mots.

Un ouvrage écrit par le président du comité du Souvenir Français de Mortagne-sur-Sèvre (85).

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S’ACCROCHER A UNE ETOILE, Anne-Marie Grué Gélinet

Anne-Marie Grué-Gélinet nous transporte à l’hôpital des Invalides, qui, depuis sa création par Louis XIV, accueille les militaires blessés au combat. Mêlant récit et témoignages, l’auteure raconte cette longue tradition et le rôle central que tient aujourd’hui ce lieu exceptionnel dans les soins apportés, notamment, aux victimes d’attentats. L’actualité de l’ouvrage lui donne une dimension bouleversante et sensibilisera les lecteurs aux sacrifices de certains, civils ou militaires, dont la force et l’incroyable courage, passés le temps médiatique, restent souvent dans l’ombre.

Le premier tirage prévu est de 4000 exemplaires avec une parution en décembre 2019 et une mise en vente en librairie en janvier 2020.

Un cahier central est composé de photographies, gravures et documents anciens montrant l’histoire de ce lieu visité par d’illustres chefs militaires afin de rendre hommage « aux braves soldats ».

L’auteure, elle-même accueillie aux Invalides plusieurs mois après un accident, raconte tout cela avec une infinie sensibilité. Loin des bruits et de l’agitation parisienne, la vie de chacun devient la construction de son propre destin. Il s’agit, après de graves traumatismes ou stress posttraumatiques, de réapprendre à se connaître, de rééduquer un corps douloureux ou de vivre avec un handicap (parfois très lourd), de se donner des objectifs, de prendre le temps.

Anciens résistants ou combattants de la Seconde Guerre mondiale aujourd’hui centenaires, jeunes militaires blessés, victimes des attentats qui ont bouleversé la France, chacun confie ses souvenirs, ses espoirs, ses chagrins, ses combats pour regagner de l’autonomie. Qu’ils soient aujourd’hui pensionnaires à vie ou hospitalisés en rééducation, les patients ont tous des parcours singuliers.

Solidarité et humanité chevillées au corps, soignants et soignés s’entraident, créent des liens indéfectibles, forment une famille unie et fraternelle dans le courage et la souffrance. Anne-Marie Grué-Gélinet donne la parole à une vingtaine d’entre eux. Ces témoignages très émouvants nous enseignent la patience et l’humilité et nous font découvrir une autre facette de ce lieu chargé d’histoire, à la pointe des techniques médicales et sportives mises à la disposition de ces héros anonymes.

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QUATRE MARINS DANS LA GRANDE GUERRE, Didier Besseau

Désormais les acteurs et les témoins de la Première Guerre Mondiale ont tous disparu. Les cimetières militaires, les monuments aux morts ou les plaques mémorielles sont là, bien sûr, pour nous rappeler l’ampleur des sacrifices humains qu’elle a imposée. Toutefois un ouvrage comme celui de Didier BESSEAU, lieutenant de vaisseau, est précieux parce qu’il nous fait vivre de l’intérieur le parcours humain de soldats ordinaires, qui n’étaient pas prédestinés à vivre ces événements tragiques. D’autant plus que le rôle de la marine (« la Royale ») dans ce long conflit est assez mal connu.

Il s’agit donc là plus précisément du destin de quatre marins : Jean-Marie Allot, Aristide Moyon, Pierre Perraud et François Angibaud, tous les quatre originaires de la région nantaise. Leurs parcours sont différents et représentatifs puisqu’ils ont combattu sur mer ou à terre, sur le front français ou dans les Dardanelles ; l’un est mort et un autre a été blessé grièvement.

Pour soutenir cet ouvrage : https://www.la-chouette-de-vendee.fr/catalogue/params/category/148552/item/802115/

HARKIS AU CAMP DE RIVESALTES,  Fatima Besnaci-Lancou

Au lendemain de la signature des Accords d’Évian, le 18 mars 1962, des harkis et leurs familles font l’objet de violences de la part de membres du Front de libération nationale (FLN). Dès l’indépendance de l’Algérie, le 3 juillet 1962, la situation s’aggrave. Des dizaines de milliers d’entre eux sont tués, d’autres milliers sont emprisonnés, quand presque tous les autres sont mis au ban de la société. Il est reproché aux hommes leur « engagement » sous le drapeau français. Par ordonnance française du 21 juillet 1962, ils perdent leur nationalité française.

Entre juin 1962 et fin 1963, malgré les mesures prises par les autorités françaises pour les maintenir dans l’Algérie indépendante, environ 90 000 personnes (hommes, femmes et enfants) traverseront la Méditerranée pour se réfugier en France. Accueillis par des militaires français, près de 43 000 vont transiter par des camps en Algérie, puis par ceux implantés en France. Ces familles seront traitées en « réfugiés » à surveiller et non en « rapatriés » comme les Européens qui, eux aussi, ont dû quitter l’Algérie. Autour de 22 000 personnes – soit plus de la moitié – seront reléguées dans le camp de Rivesaltes. Ce chiffre fait de Rivesaltes le lieu le plus emblématique dans l’histoire de l’exil des familles de harkis.

Cet ouvrage réunit dix-sept tranches de vie comme autant de témoignages qui illustrent la tragédie des familles de harkis à la fin de la guerre d’Algérie. Onze femmes et six hommes partagent l’expérience d’une vie de souffrances dans ce camp pour y avoir été relégués, entre quelques mois et deux ans.

Fatima Besnaci-Lancou est docteur en histoire contemporaine, spécialiste de la guerre d’Algérie et ses suites. Elle est membre du Conseil scientifique du Mémorial du camp de Rivesaltes. Elle a reçu le Prix Seligmann 2005 contre le racisme.

ANDRE BOUTON, de Didier Béoutis

Cette biographie évoque la vie et les états de services d’André Bouton né à Fresnay-sur-Sarthe, notaire, économiste, militant associatif, historien du Maine, auteur notamment de « La Fin des rentiers » (1932), de  « L’histoire de la Franc-maçonnerie dans le Maine » (trois volumes de 1951-1966) et d’une monumentale « Histoire économique et sociale du Maine ». André Bouton a été mobilisé pendant la Grande Guerre. Blessé à deux reprises, il sera décoré de la Croix de guerre. Notaire, puis expert immobilier, il s’intéresse à l’évolution des revenus privés. Cela le conduit dans les années trente à militer en faveur des classes moyennes touchées par la crise mondiale. Après la Libération, André Bouton se consacre à l’histoire de sa province.

Contact : didierbeoutis@yahoo.fr

Route de Bataille, de Christophe Lavigne

1918-2018. Cent années se sont écoulées. A l’aube du XXe siècle, l’Europe était la maîtresse incontestée du globe. Aujourd’hui son avenir est des plus incertains. Or la vie semble poursuivre son cours, en France, en Allemagne, comme ailleurs. On continue de s’aimer et de s’épouser. Un couple de jeunes mariés décide de prendre la route et de se diriger vers Verdun pour célébrer ses noces, s’efforçant de suivre les traces des hommes s’étant battus là-bas.

Route de bataille, récit de voyage hautement atypique, est une interrogation sur notre monde et ses évolutions récentes.

Pour soutenir cet ouvrage : https://www.facebook.com/pg/lavigneauteur/shop/?rid=2625751567443548&rt=8&location=homepage_stream

Le destin de Félicie, de Christian Le Marchand

Née au dix-neuvième siècle finissant, Félicie, fille de cultivateurs de la Haute-Mayenne, épouse Pierre, un cheminot de cinq ans son aîné dont elle aura quatre enfants. Trois survivent. D’abord installé à Laval, le couple s’établit à Mondeville, près de Caen, en 1913. Pierre décède au printemps 1919. Félicie dont le droit à pension de veuve de guerre ne sera reconnu que dix ans plus tard, élève, seule, ses trois enfants. Elle est garde-barrière. En 1929, elle devient grand-mère et s’établit, à sa retraite, à Blonville-sur-Mer d’où elle est chassée par l’Occupant en 1941. L’année suivante, Félicie s’installe à Poussy-la-Campagne. En juillet 1944, elle est contrainte à l’exode par les combats du débarquement. Elle se réfugie en Mayenne, dans la famille. Revenue à Poussy-la-Campagne, à l’automne 1944, Félicie, âgée de soixante-deux ans, quitte tout à l’automne 1948, n’emportant qu’un balluchon, et va s’établir au Mont-Canisy sur la côte normande. Elle décède à l’âge soixante-et-onze ans, en plein hiver 1957, à l’hôpital de Trouville-sur-Mer.

Pour soutenir cet ouvrage : https://jepubliemonlivre.chapitre.com/roman/3023-le-destin-de-felicie-christian-le-marchand-9791029009952.html

Les Bagnards de Sedan de Jean Claude Auriol

Le 10ème livre de Jean Claude Auriol sur la Grande Guerre. Cet ouvrage révèle une histoire méconnue de cette guerre. Les Bagnards de Sedan traite des civils envoyés dans un camp d’extermination à Sedan avec environ 80% de décès dans ce sinistre lieu.

Camp créé en janvier 1917, situé en haut du célèbre château de Sedan que les rares survivants vont baptiser « le Bagne de Sedan ».

Contact : Jean Claude Auriol, jeanauriol@orange.fr

Les Expositions

LA GLOIRE ET LE DEUIL – Du souvenir du soldat à la mémoire du combattant, 1919-1939.

Service historique de la Défense

En prolongement des nombreuses manifestations culturelles et mémorielles qui ont commémoré les différents aspects et certains événements clés de la guerre de 1914-1918, le Service historique de la Défense propose d’étudier les années d’après-guerre sous le double prisme de la glorification de la victoire et de la pesanteur du deuil au travers de la figure emblématique de l’ancien combattant

Exposition jusqu’au 30 janvier 2020, Service historique de la Défense, château de Vincennes.

Les spectacles

Concert « Genevoix et ceux de 14 » en cathédrale Saint Louis des Invalides.

Le sacrifice et la paix : un concert en hommage à Maurice Genevoix avec « La Messe de la Délivrance » œuvre pour chœur, solistes, orchestre et orgue de Théodore Dubois qui a été créée en 1919 pour célébrer la Paix, interprété par les 25 musiciens et les 80 choristes franco-allemands du Chœur du Mesnil-Saint-Denis. Direction Benjamin Fau.

Au cours du concert des textes extraits de « Ceux de 14 », récit épique majeur de Maurice Genevoix sur son expérience de sous-officier lors de la Première Guerre mondiale seront représentés par des comédiens. Mise en espace Xavier Gras.

Le 9 novembre 2019 à 19h30.

Réservation : https://www.weezevent.com/genevoixinvalides

QUAND LA GUERRE SERA FINIE, au Théâtre Lepic

En 1942, entre le cabaret de la Rose Noire à Paris et la gare de Saint-Dizier, six personnes que rien ne destinait à se rencontrer se retrouvent mêlées au sabotage d’un train allemand.Lucile, une jeune secrétaire aux Chemins de Fer ; Fanfan, son frère, garagiste pétainiste ; Gilbert leur ami, cheminot communiste ; Rupert, un officier allemand ; Nini sa maîtresse, chanteuse de cabaret ; Etienne, son fils mal aimé, et Norah, un agent de Londres, vont se croiser, se déchirer, s’aimer, se trahir…

Dans le même temps, le facteur Gaby fait voyager des saucissons dans des valises pour les vendre au marché noir avec la complicité du porteur Célestin. Certains mourront, d’autres sortiront grandis de cette aventure. L’époque est sombre, les héros pas forcément ceux que l’on croit.

Quand la guerre sera finie met en scène de nombreux personnages dont les histoires croisées, à la fois intimes et épiques, révèlent des destins bouleversants.

Les interprètes incarnent chacun plusieurs rôles dans des enchainements fluides et une atmosphère mêlant réalisme et stylisation.

Trois interprètes pour raconter une foule : davantage que tel ou tel personnage, les acteurs sont des conteurs qui transmettent au public les élans émotifs qui jalonnent le récit. Et, dans ce cadre, ils deviennent les héros de l’histoire : Norah, Lucile, Rupert, Fanfan, etc. La direction d’acteur vise à conduire les interprètes au plus profond des vibrations d’une musique écrite pour épouser complètement les tourments et aspirations de chacun des protagonistes.

Entre stylisation et réalisme : des praticables très stylisés constituent la base d’une scénographie qui, découpée par la lumière, nous conduit, comme dans un fondu enchaîné, de la scène d’un cabaret au quai d’une gare, des murs d’une prison à une terrasse de café. Par ailleurs des éléments concrets, revolver, valises, saucissons, apparaitront pour rappeler le réalisme des situations. La création costumes favorise des matières et des formes évoquant les années 40, dans l’esprit des mélodrames du réalisme poétique français.

Les protagonistes de Quand la guerre sera finie, secrétaire, cheminot, chanteuse, garagiste, seront confrontés à l’Histoire, et ils vont être, en quelque sorte, magnifiés. C’est pourquoi les changements de costumes et accessoires se font à vue, pour associer le public à l’alchimie de cette transformation.

Du 20 octobre 2019 au 12 janvier 2020, les dimanches à 20h30 au Théâtre Lepic,

1 avenue Junot – Paris 18ème

Pour en savoir plus : www.quandlaguerreserafinie-lemusical.com

Appel à la vigilance

Le monument à la gloire des coloniaux du Poitou a été tagué la nuit du 9 au 10 octobre 2019 à Poitiers.

La plaque de la rafle de la rue Sainte-Catherine à Lyon a été dégradée le 21 octobre 2019.

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