L’œil de l’historien

1 septembre 2025

Jean-Claude Thiriet, La présence italienne sur le front occidental pendant la Grande Guerre (1914/1918)

Jean-Claude Thiriet nous a quitté. Cet article est le dernier qu’il aura rédigé. Nous lui sommes profondément reconnaissants et nous lui rendons hommage. L’histoire partagée de la France et de l’Italie lui doit beaucoup.
Nous ne l’oublierons pas.


Serge Barcellini

Jean-Claude Thiriet est né à Pessac en Gironde. Après des études secondaires et supérieures à Strasbourg, il fut professeur agrégé de lettres et titulaire d’un doctorat en littérature générale et comparée, ainsi que chercheur, en particulier sur le 2ème Corps d’Armée Italien en France au cours de la Grande Guerre. Pendant plus de 10 ans, il a collaboré à la revue « La Voce degli italiani in Francia » et fut membre de l’Associazione Nazionale Combattenti e Reduci – Section de Paris et de l’Ile-de-France, de l’Associazione « Cimeetrincee », et de l’Associazione Nazionale Veterani e Reduci Garibaldini.

La Grande Guerre commença, rappelons-le, avec l’invasion de la Belgique par l’armée allemande, en août 1914, et la cuisante défaite de Charleroi pour les troupes françaises, contraintes de battre en retraite jusqu’à la Marne. Cependant, une contre-offensive générale permit rapidement à l’armée, alors commandée par le général Joffre et qui était vaillamment soutenue par le corps expéditionnaire anglais, de reprendre une partie du territoire français envahi par les Allemands, une contre-offensive stoppée en octobre, meurtrière, notamment sur ce lieu qui, autant que Verdun, deviendra emblématique de cette Première Guerre mondiale, le Chemin des Dames, en Picardie.

L’Italie, à ce moment-là maintient une neutralité légitime, car les accords qui la liaient aux Empires Centraux étaient seulement défensifs. Elle le reste jusqu’en mai 1915 où, au grand dam de Berlin et de Vienne, elle rejoint l’Entente, ce qui, pour les Alliés d’alors (France, Angleterre et Russie), permet la création d’un nouveau front, sur les Alpes, qui va obliger l’Empire austro-hongrois à dégarnir le front oriental de ce conflit encore limité, alors, à l’Europe.  Cette neutralité préservée de l’été 1914 à l’automne de l’année suivante n’empêche pas une participation italienne, sous la forme d’engagements volontaires dans l’Armée française et ce, dès le déclenchement du conflit. Nombreux en effet sont les Italiens émigrés, notamment en Afrique du Nord, ou même des Italiens recrutés dans certains endroits de la Péninsule (Piémont, Val d’Aoste, Campanie…) qui s’engagent pour la durée de la guerre (qu’en 1914 on imaginait ne pas durer). Les recherches que j’effectue depuis plus d’un an en « épluchant » les listes des « Morts pour la France » de « Mémoire des Hommes » m’autorisent à donner un chiffre approximatif de plus de mille noms, sans doute plus, de natifs d’Italie tués au cours du conflit sous l’uniforme français. Si nous ajoutons à ces plus de mille noms, ceux des immigrés, souvent de dates récentes, en Tunisie, en Algérie, dans la région parisienne ou dans le quart est-sud-est de l’Hexagone, on doit approcher les 10.000. Des hommes jeunes, pour la plupart, tués dans les tranchées, des suites de leurs blessures ou de maladie, et enrôlés dans l’infanterie, notamment coloniale. Nombreux aussi les soldats du génie et les artilleurs. Les raisons de ces engagements volontaires sont multiples : parfois ils expriment une forme de reconnaissance pour le pays d’accueil, mais, le plus souvent, la misère est une cause déterminante. S’engager, c’était avoir l’assurance de recevoir régulièrement une solde, le plus souvent, d’ailleurs, envoyée à la famille. Parmi  ces initiatives, disons, individuelles, dont les responsables se perdent dans la masse anonyme des conscrits et des engagés volontaires, la constitution, peu après le déclenchement du conflit, de la « Légion Garibaldienne » présente le cas intéressant d’un regroupement « national » (les Italiens) de volontaires autour des idéaux mazziniens et garibaldiens qui ont animé l’esprit de l’unification italienne, récente encore en 1914, au sein d’un royaume indépendant, héritier du Royaume de Piémont-Sardaigne.

 Le 4° RMLE (Garibaldiens de l’Argonne)

On connaît le fameux appel « aux étrangers de France », placardé dès le 29 juillet 1914, donc avant le déclenchement des hostilités, destiné à inciter les apatrides à rejoindre les rangs de la Légion Etrangère, appel orchestré, entre autres, par le poète suisse Blaise Cendrars et par l’artiste et critique italien Ricciotto Canudo  (« … Intellectuels, étudiants, ouvriers, hommes valides de toutes sortes – nés ailleurs, domiciliés ici – nous qui avons trouvé en France la nourriture de notre esprit ou la nourriture matérielle, groupons-nous en un faisceau solide de volontés mises au service de la plus grande France. »). A cet appel, « les étrangers de France », beaucoup chassés de l’est de l’Europe par les pogroms et/ou pour des raisons politiques, furent nombreux à répondre. Le groupe homogène le plus fourni est constitué par les Alsaciens-Lorrains qui avaient, par francophilie, opté pour la France après la défaite de 1870. Suivent les Italiens au nombre d’un peu plus de 5000 sur les 30.000 étrangers réunis le 21 août 1914 sur l’esplanade des Invalides (pour 3500 Russes ou 1500 Belges, pour la plupart francophones, et autant de Suisses). Tous les Italiens retenus ne rejoindront pas le régiment dit « garibaldien » qui va se constituer dans un avenir tout proche. Certains, nous l’avons vu plus haut, seront affectés dans l’infanterie, l’infanterie coloniale, l’artillerie ou le génie. Cependant l’activisme prosélyte du vieux général Ricciotti Garibaldi, de ses fils et de ses proches, en conduiront un certain nombre dans cette légion « italienne » que le haut commandement français finit, après quelques réticences, à créer en date du 3 septembre. Courant septembre, le régiment est organisé à Lyon et doté d’un commandement mi italien mi français que l’aîné des frères Garibaldi, Giuseppe, dit Peppino, dirige. Les volontaires affluent, depuis Paris, bien sûr, mais aussi depuis Marseille et le littoral méditerranéen, terre d’élection des émigrants italiens, ou de la région lyonnaise et des Alpes. D’autres viennent de la péninsule, particulièrement des régions limitrophes de la France (Val d’Aoste, Piémont, Ligurie), mais aussi de la Lombardie, de la Toscane et de l’Emilie-Romagne. 3000 hommes environ, assez en effet pour former un régiment indépendant qui est rattaché au 1° RMLE (Régiment de marche de la Légion Etrangère).

La composition sociologique des engagés est extrêmement variée : des artistes ou des intellectuels et étudiants dans l’encadrement, des artisans, petits commerçants, apprentis plutôt que des paysans dans la troupe. Diverses également les motivations : des militants du PRI (Parti Républicain Italien) – c’’est le cas du jeune Suckert – ou venus de l’extrême-gauche interventionniste (en particulier des partisans de l’anarcho-syndicalisme inspirés par Filippo Corridoni qui avait fait le déplacement à Paris pour inciter les ouvriers italiens travaillant en France à se porter volontaires et à rejoindre l’armée de leur pays d’accueil, anarchistes, ou socialistes, tel Luigi Campolonghi, mais aussi des jeunes gens non politisés, comme Lazare Ponticelli, soucieux de défendre le pays d’accueil agressé, et pour lesquels l’armée est un gagne-pain, des marginaux et même des repris de justice.

 Envoyé en novembre, au Camp de Mailly, entre Marne et Aube, pour y être « instruit », le régiment part en 1° ligne fin novembre/début décembre dans le massif de l’Argonne. Il s’y bat vaillamment, fin-décembre et début janvier, au prix de pertes importantes (556 légionnaires mis hors de combat entre tués 93, disparus 156 et blessés (400, environ), soit un quart des effectifs. Et, parmi les tués, deux des petits fils de Garibaldi, Costante et Bruno. Ces pertes décident le commandement de division de mettre les Garibaldiens en repos, puis, contre l’avis de Peppino Garibaldi, de les éloigner du front en les renvoyant à Avignon où le régiment fut dissous (officiellement le 5 mars 1915, l’Italie s’apprêtant à entrer en guerre à son tour après une campagne interventionniste où la voix du grand poète Gabriel D’Annunzio fut déterminante, ainsi que l’engagement de personnalités reconnues comme Leonida Bissolati ou Benito Mussolini).

 Le congédiement des volontaires se fait de manière un peu chaotique. Généralement ceux venus d’Italie et certains émigrés (c’est le cas de Lazare Ponticelli) rejoignent le pays natal et, pour la plupart, s’engagent dans le Real Esercito (beaucoup dans la brigade d’infanterie de tradition garibaldienne « Alpi »). Un certain nombre choisit de rester en France et passent le plus souvent dans d’autres régiments de la Légion Etrangère (des noms italiens apparaissent ainsi parmi les « Morts pour la France » du 2° RMLE, notamment dans les durs combats du printemps et de l’été 1915, en Flandre, dont l’épicentre est la cité de Neuville- Saint-Vaast.

 Les T.A.I.F.

Le 2° groupe important d’Italiens ayant servi sur le territoire français est constitué par les TAIF, les Travailleurs Auxiliaires Italiens en France. Ce n’est qu’en 1916 que le Royaume d’Italie déclare la guerre au Reich allemand. Jusque-là, le front italien des Dolomites et du Karst restait un conflit entre l’Italie et l’Empire des Habsbourg. Ce nouvel engagement du Real Esercito autorise les Alliés à solliciter l’Italie pour qu’elle contribue à l’effort de guerre sur le front occidental et une demande officielle est transmise courant 1917 au Haut Commandement italien. Un premier contingent de 1000 sapeurs aguerris et spécialisés (terrassiers, spécialistes des lignes télégraphiques ou téléphoniques…) est envoyé en France. Mais il faut attendre le 19 janvier 1918 pour qu’un accord soit signé à Rome pour l’envoi de 60 000 soldats « non-combattants ». Ces troupes auxiliaires gagnent le territoire français par groupes de fin janvier à mars. Elles sont constituées de très jeunes gens, pour certains embusqués, ce qui créa quelques polémiques, ou de vétérans de 40 ans et plus considérés comme inaptes à un service actif en 1° ligne. Dès leur arrivée, sous la direction de l’Inspecteur Général Giuseppe Tarditi, ces hommes sont répartis en quatre groupes de 15 000 soldats-travailleurs (3 auprès des armées françaises, le 4° auprès du corps expéditionnaire britannique). Leurs contributions à la réfection des tranchées, à la création ou à l’entretien des routes ou des emplacements de pièces d’artillerie, furent généralement très appréciées en haut lieu, car elles étaient l’œuvre le plus souvent de travailleurs compétents et endurants. Ajoutons que, après l’offensive allemande du printemps 1918, notamment après la seconde bataille de la Marne, en juillet, un certain nombre des plus jeunes membres des TAIF fut envoyé au combat, après réexamen médical, au sein du 2° Corps d’Armée Italien, que nous allons évoquer plus loin.

 Enfin, parmi les Italiens présents en France dès la seconde année de guerre, figurent bien sûr les observateurs militaires (ainsi, sur le côté nord du cimetière militaire italien de Bligny (51), on peut voir le cénotaphe du général Ugo Bagnani, mort de maladie alors qu’il était en mission auprès du corps expéditionnaire britannique) et les ouvriers (ou pilotes/instructeurs) d’avions-bombardiers Caproni dont les pièces venaient d’Italie et qui étaient souvent montés et équipés sur place.

 Le 2° CAI       

Le désastre de Caporetto, en novembre 1917, avait conduit les Alliés à envoyer des troupes sur le front italien pour permettre au Real Esercito de se réorganiser. 6 divisions françaises et 4 britanniques combattirent donc sur le Piave et le plateau d’Asiago durant toute la première partie de 1918. Dès que la situation militaire sur le front italien le permit, le principe de réciprocité s’appliqua et le général Diaz qui avait remplacé le général Cadorna à la tête de l’armée italienne dépêcha en France son 2° corps d’armée, soit environ 60 000 hommes répartis dans deux divisions d’infanterie comprenant chacune deux brigades, d’un côté la « Napoli » et la « Salerno », de l’autre, la « Brescia » et « l’Alpi », cette dernière insérée dans le 2° CAI à la place de la « Ravenna » en tant qu’héritière de la tradition garibaldienne (un certain nombre des « précurseurs » du 4°RMLE, qui avaient combattu en Argonne en 14, s’était retrouvé dans cette brigade prestigieuse formée des 51°/52° régiments. Régiments d’artillerie de campagne et d’artillerie lourde, dans une guerre où l’artillerie joua un rôle prépondérant et dévastateur, accompagnaient l’infanterie, ainsi que des compagnies  du génie, des sections de carabiniers et tous les services, y compris deux hôpitaux de campagne (la sœur des « fratelli Garibaldi » de retour en France, officiers dans le 51° ou le 52° RF, Anita  Italia, était infirmière dans l’un d’eux, ainsi que Maria Cozzi, morte, sans doute de la grippe espagnole, le jour même de l’Armistice, le 11 novembre 1918) complétaient le 2° Corps d’Armée Italien (2° CAI) dont le commandement avait été confié à l’expérimenté général Alberico Albricci, originaire de la province de Varese. Instruit au camp de Mailly comme l’avaient été les Garibaldiens, leurs prédécesseurs, les soldats italiens montèrent en ligne fin mai dans le secteur réputé calme qui fait face au village historique de Valmy, près de Sainte-Menehould. C’est là que le 2° CAI eut ses premiers tués. Toutefois l’imminence d’une attaque massive que les Allemands pensaient devoir être décisive en leur ouvrant la route de Paris, dont l’état-major allié savait qu’elle aurait lieu courant juillet, en Champagne, le contraignit à déplacer les Italiens (dont on mettait en doute les vertus militaires en les qualifiant de « caporettistes ») de la zone de Sainte-Ménehould vers le secteur-clé de la Montagne de Reims. A ce moment crucial de la guerre, les Italiens remplaçaient en première ligne les troupes britanniques et françaises.

 L’attaque générale (après des combats, début juillet, qui avaient causé déjà des pertes sérieuses) se produisit dans la nuit du 14 au 15 juillet : intense bombardement allemand sur la Montagne de Reims, avec usage des gaz de combat, suivi, au matin, par l’attaque de l’infanterie appuyée par des chars pris aux Anglais lors de l’offensive du printemps. De part et d’autre de la vallée de l’Ardre, les troupes italiennes résistent au prix de lourdes pertes. Cependant, l’offensive ennemie s’essouffle au bout de quelques jours, les Alliés contrattaquent tandis que les Italiens, très éprouvés, sont envoyés en 2° ligne, puis mis au repos. Les « arditi » (corps francs) et certaines compagnies de la « Salerno » participent néanmoins à cette controffensive avant d’être relevés à leur tour. Pour le 2° CAI, le bilan est lourd : plus de 9000 hommes mis hors de combat, pour la plupart fantassins et artilleurs, entre tués, disparus et blessés. Parmi ces derniers le sous-lieutenant Curzio Suckert, mieux connu sous le nom de Curzio Malaparte, sévèrement touché par l’inhalation des gaz de combat. Suckert-Malaparte a raconté ces combats dans les pages de Mamma Marcia, récit autobiographique qui fut publié après la mort prématurée de l’écrivain d’un cancer des poumons, lointaine conséquence de son gazage dans le Bois de Courton. Parmi les tués, l’artilleur Andrea Vergani dont les petits-neveux, Maurizio et Maria Grazia, continuent de fleurir la tombe de leur aîné dans le sanctuaire militaire de Bligny où reposent plus de 4000 combattants italiens, pour beaucoup appartenant au 2° CAI.

 Après réorganisation du Corps d’Armée, à l’automne, les soldats italiens remontent en ligne, au pied du Chemin des Dames, à l’est de Soissons, où les Allemands ont arrêté leur retraite derrière une ligne de défense jusque-là infranchissable. Toutefois, après d’âpres combats, Français et Italiens percent le dispositif allemand en partie dégarni par une reprise de la retraite. Les pertes sont moindres mais elles demeurent conséquentes, comme elles le seront aussi, un peu plus au nord, dans les marais de Sissonne. En témoigne le cimetière de Soupir qui contient 500 soldats tombés, en majorité dans le secteur du Chemin des Dames. Le 11 novembre voit les troupes du général Albricci sur les bords de la Meuse. Une semaine après Vittorio Veneto, la Grande Guerre s’achevait sur le front occidental, sans la présence italienne : le 2° CAI ayant été envoyé en maintien de l’ordre, pendant l’hiver 1918/1919, dans le Luxembourg belge, puis en Allemagne. De ce fait, c’est la grippe espagnole qui causa la mort des derniers soldats italiens victimes du terrible conflit.

 Au printemps 1919, fut enfin organisé le rapatriement de l’ensemble des effectifs du 2° CAI, qui, avant son départ, devait recevoir cet hommage du généralissime et futur maréchal Pétain : « Au moment où vous allez retourner en Italie, je tiens à vous exprimer la satisfaction que j’ai éprouvée à avoir sous mes ordres le 2° corps d’armée italien. Quand en avril 1918, le 2° CAI arriva en France, sa réputation était déjà consacrée (…). Je savais que je pouvais beaucoup demander à de pareilles troupes. Elles furent en effet de celles qui, le 15 juillet, contribuèrent à repousser les assauts furieux de l’ennemi. Elles furent ensuite appelées à reprendre les crêtes fumeuses du Chemin des Dames et participèrent vaillamment avec les troupes françaises à la poursuite qui chassa l’ennemi hors de France. Au nom du peuple de France je les remercie. »

 En dehors des sanctuaires de Bligny et de Soupir, des soldats italiens, morts de leurs blessures ou de maladie, sont enterrés dans différents cimetières de l’Hexagone, en Lorraine, à Lyon et Villeurbanne, dans le carré militaire d’Ivry, dans d’autres cimetières de Paris ou de la région parisienne, en Belgique… N’hésitez pas à vous arrêter sur ces tombes, à avoir une pensée pour ces hommes morts loin de chez eux et victimes d’une guerre qui, pour la troupe, fut une hécatombe.                    

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