La mémoire à travers l’exposition…
1914-1918, VIGNOHT, le regard d’un peintre
L’œuvre est née de la rencontre de deux poètes :
– l’un écrivain, Roland DORGELES (1885-1973) qui publie un émouvant récit sur la guerre les « Croix de Bois »
– l’autre peintre, Guy VIGNOHT (1932-2010), qui brosse une poignante série de tableaux.
« La guerre est un cauchemar ; c’est ainsi que l’a vue Guy Vignoht au vigoureux talent » écrivit Roland Dorgelès. Figure marquante du mouvement de la seconde école de Paris (1941-1961) appelé la « Jeune Peinture », l’artiste laisse entrevoir l’horreur des combats, l’univers des tranchées, le cauchemar des Poilus. Le jaune du feu, le rouge du sang, le marron de la boue et le bleu des uniformes sont l’expression picturale des dualités de la victoire et de la défaite, de la lumière et des ténèbres, de la vie et de la mort.
Cette fresque s’inscrit logiquement dans la lignée d’œuvres magistrales d’artistes ayant peint ce thème : Jacques Callot avec « Les Misères et les malheurs de la guerre », Francisco Goya avec « El dos y el tres de Mayo », Pablo Picasso avec « Guernica », Marcel Gromaire avec « La Guerre », ou encore Bernard Buffet avec « Horreur de la guerre ». Elle permet à Guy Vignoht d’inscrire son nom dans le grand livre ouvert de l’histoire de l’art, aux pages des conflits armés. Au-delà du rappel de la grandeur et du sacrifice de ces hommes, le peintre transmet un message universel. Il sublime la part d’humain que contient l’Humanité, pour que la haine de l’autre ne puisse plus annihiler les valeurs partagées entre les peuples.
Exposition à la ferme Pereire, centre d’exposition artistique et littéraire, avenue Erasme, 77330 Ozoir-la-Ferrière du 9 au 21 novembre 2018
Trois pilotes, Une guerre
« Récits personnels d’Européens en 14-18 » est la dernière commémoration du Centenaire de la Première Guerre mondiale au musée de l’Air et de l’Espace, et fait suite à « La Grande Guerre des aviateurs (2014-2015) » et « Verdun, la guerre aérienne (2016-2017) ».
Plus intimiste que les précédentes, cette exposition gratuite présente le parcours personnel de trois aviateurs de la Grande Guerre : un Français, Jean Chaput (1893-1918), un Allemand, Peter Falkenstein (1892-1966) et un Britannique, Bernard Curtis Rice (1891-1933). Ces trois portraits sont l’occasion d’évoquer, par extension, différents aspects de la guerre aérienne pratiquée par les trois pays belligérants, comme la formation des aviateurs, les conditions de vol, la vie quotidienne au sein de l’escadrille, les relations avec l’« arrière » ou encore le rapport à l’ennemi et à la mort. L’exposition se conclut par un lien avec le présent concrétisé par des travaux réalisés par des lycéens français, allemands et britanniques et l’évocation des exercices interarmées et des opérations militaires réalisés de nos jours par les armées de l’air française, allemande et britannique.
Succédant au site web 3P1W mis en ligne en 2014 et réalisé en partenariat avec le Militärhistorisches Museum der Bundeswehr de Dresde et le Royal Air Force Museum de Londres qui sont également des partenaires actifs de la manifestation , la présente exposition donne à voir aux visiteurs la correspondance produite en parallèle par les trois aviateurs, correspondance qui est mise en dialogue avec des collections diverses et nombreuses du musée de l’Air et de l’Espace : maquettes d’avions emblématiques, accessoires de tenues de vol et d’uniformes, affiches et peintures, équipements techniques telles qu’une hélice et une mitrailleuse. De nombreuses photographies et films d’époque, présentés par le biais de supports audiovisuels, sont également à découvrir.
Exposition du 31 octobre 2018 au 10 mars 2019.
Pour en savoir plus : https://www.museeairespace.fr/actualites/exposition-trois-pilotes-une-guerre/
« Caravane de la mémoire : les tirailleurs sénégalais, avant, pendant et après la Première Guerre mondiale »
Cette exposition présente la guerre de 1914-1918 qui a fait évoluer significativement les rapports entre les Africains et les Européens. Labellisée « Mission du Centenaire» de la Grande Guerre, l’exposition se développe sur 38 panneaux autour desquels sont disposés différents objets (uniformes, armes, tableaux, etc.).
En trois temps, l’exposition présente tout d’abord l’histoire des empires africains, l’image des Africains en France et de la France en Afrique ainsi que la mobilisation des tirailleurs sénégalais dans les différentes batailles, avant 1914.
La partie centrale, traitant de la Grande Guerre, est consacrée à trois lieux emblématiques pour les troupes coloniales au cours du conflit – Fréjus, Mora au Cameroun et le Chemin des Dames – et évoque les divers aspects de la vie des tirailleurs sénégalais pendant la guerre.
Enfin, une dernière partie détaille la période de l’entre-deux-guerres, 1919-1939, avec notamment la campagne de dénigrement intitulée la « honte noire », la transformation de l’image du Noir dans la société française et du Blanc dans la société africaine, avec une attention particulière pour l’aide apportée par Lucie Cousturier aux tirailleurs sénégalais.
Exposition au Musée des Troupes de marine – Fréjus. Puis exposition itinérant. Jusqu’au 30 juin 2019
Pour en savoir plus : http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/article.php?laref=1272&titre=exposition-caravane-de-la-memoire-les-tirailleurs-senegalais-avant-pendant-et-apres-la-premiere-guerre-mondiale-
Train de la Paix (Centenaire 14 -18), un spectacle Son et Lumière
Deux trains ennemis sont bloqués dans la même gare, deux trains qui sont le trait d’union entre des adversaires qui ont su mettre la guerre de côté le temps d’une nuit. Une nuit de trêve et de rencontres, l’occasion de soigner des blessés ou encore d’écouter des notes de musique.
Un spectacle associant la commémoration du centenaire de la signature de l’armistice, la célébration de la paix et de la fraternité entre les peuples, une histoire d’hommes engagés dans un conflit qui les dépasse et un message d’espoir et de paix.
Les 4 – 8 – 9 – 10 – 11 NOVEMBRE 2018 à la gare de Burnhaupt-le-Haut (68).
Pour en savoir plus : https://www.pays-thur-doller.fr/traindelapaix
Contact : accueil@pays-thur-doller.fr
« Pegasus Bridge, Le pont de l’espoir », Françoise Gondrée
Le 3 novembre 1944, la guerre n’est pas finie et des unités continuent de passer les ponts. C’est à ce titre de reconnaissance insigne que le médecin Lieutenant-colonel Bruce Harvey, commandant la 225th Field Ambulance, a quitté le front sur l’autorisation spéciale de sa hiérarchie pour assister Thérèse Gondrée à accoucher à Pegasus Bridge.
L’auteure, la fille de Thérèse Gondrée est baignée dans cette reconnaissance depuis son enfance, ce qui l’amène à connaître l’histoire de 1944. Elle a participé à la création de l’association pour la sauvegarde du site de Musée de Pegasus Bridge et a consulté de nombreuses archives afin de relater le contexte local, national et international de la 6th Division aéroportée et sa stratégie.
Pour soutenir cet ouvrage :
https://www.pegasusbridge.fr/les-livres-de-francoise-gondree/
Réédition de « Ceux de 14 » Maurice Genevoix
1er août 1914 : la France décrète la mobilisation générale. Le 2 août, Genevoix, brillant normalien, rejoint le 106e régiment d’infanterie comme sous-lieutenant… Neuf mois plus tard, il est grièvement blessé : c’est la fin de la guerre pour le jeune homme.
Entre ce mois d’août 1914 et les trois balles qui l’atteignent en avril 1915, Genevoix aura participé à la bataille de la Marne, marché sur Verdun et, pendant quatre longs mois, défendu les Éparges. Sous le feu des obus, il aura vécu le quotidien du fantassin, la boue, le sang, la mort, mais aussi, avec ses « camarades du 106 », la solidarité et l’humanité partagée.
Dès 1916 et jusqu’en 1923, Genevoix publie cinq récits de guerre, écrits dans une langue précise et humble, réunis en 1949 sous le titre « Ceux de 14 ».
C’est cette édition définitive retravaillée par l’auteur que nous donnons à lire avec une préface de Michel Bernard. Plus qu’un grand classique sur 14-18, c’est l’œuvre d’un immense écrivain.
Pour soutenir cet ouvrage :
https://editions.flammarion.com/Catalogue/gf/litterature-et-civilisation/ceux-de-14
Contact: caroline.psyroukis@flammarion.fr
« Les voies navigables en France pendant la Grande Guerre », Stéphane Fournier
L’utilisation des voies navigables pour les transports commerciaux n’avait pas été sérieusement envisagée avant la guerre. Pis, tous les trafics furent suspendus dès le début de la mobilisation à l’exception de quelques transports pour la constitution des stocks de ravitaillement d’un certain nombre de places fortes. Mais, très vite, il faut se rendre à l’évidence : le conflit sera long et les chemins de fer ne pourront seuls soutenir l’effort de guerre. Cet ouvrage vient combler une lacune de l’historiographie de la Grande Guerre ; les fleuves, rivières et canaux ont joué un rôle essentiel dans la victoire des alliés.
Contact : association.aamb@laposte.net
« Augustin », Alexandre Duyck
Ardennes, 11 novembre 1918 à l’aube. Une rumeur se répand : l’armistice vient d’être signé avec les Allemands. Parmi les Poilus qui combattent encore au bord de la Meuse, l’agent de liaison Augustin attend avec fé
brilité la fin de la guerre. Ce berger de Lozère, aîné d’une fratrie de sept orphelins, a choisi de s’engager en août 1914 alors qu’il était dispensé, a combattu sur tous les champs de bataille et n’a pris en quatre ans et quatre mois qu’une seule permission. Dans quelques heures, peut-être il pourra rentrer chez lui. Le clairon va sonner, le conflit s’achever. Mais on lui confie un dernier message à porter…
Alexandre Duyck a fouillé les archives militaires et civiles, retrouvé tout ce qu’on pouvait savoir sur ce berger devenu soldat et imaginé le reste : les pensées de cet homme courageux, observateur, taiseux, blessé deux fois, qui fut de tous les combats, et obéi aux ordres jusqu’au bout. Il est le dernier mort français de la guerre.
Pour soutenir cet ouvrage : http://www.editions-jclattes.fr/augustin-9782709662406
« La Moustache du soldat inconnu », Jérôme Prieur
Depuis l’enfance, j’ai voulu écrire mes souvenirs de la guerre de 14. J’ai mis des années à accepter de le faire, et puis enfin je suis parti sur les traces de cette vieille guerre qui s’était déposée en moi. Ce passé effroyable enfoui dans ma mémoire, je ne l’ai jamais oublié.
Pourquoi cette hantise alors qu’aucune raison biographique, a priori, ne justifiait cette obsession ?
L’inquiétude et la honte étaient tout aussi irrésistibles que l’incompréhensible fascination. Cette histoire appartient à notre histoire intime : nos familles, et nos secrets de famille. Partout, les monuments viennent nous le rappeler, ces listes innombrables, cette litanie de noms. Survivants et rescapés, morts au feu, blessés, combattants effacés ou disparus, les soldats de 14-18 sont tous restés jusqu’au dernier des soldats inconnus. Avec leur moustache et leur képi n’ont-ils pas tous l’air de se ressembler ? Les musées mettent en vitrine les fusils, les médailles et les vieux uniformes, mais la réalité même est demeurée invisible. Ni la boue ni la peur ni l’ennui ni le courage ni la rage ne laissent de vestiges tangibles. Comment le montrer ? se demandaient-ils. Comment reconstituer ça ? Comment entendre ce qu’ils n’ont pas pu raconter ? Tout a disparu. Alors j’ai laissé les revenants m’approcher, j’ai interrogé leurs carnets de bord, j’ai écouté leurs mots, leurs silences, j’ai fouillé leur passé comme j’ai pu. J’ai scruté leurs photos et même un petit film tourné au front comme une bouteille à la mer qui m’aurait été lancée. J’ai cherché ce qu’ils n’ont pas voulu nous dire. Je me suis mis à retrouver les êtres vivants qui avaient été fossilisés à l’intérieur de ces images, et pourquoi cette guerre s’était fichée au fond de mes yeux.
Pour soutenir cet ouvrage :
http://www.seuil.com/ouvrage/la-moustache-du-soldat-inconnu-jerome-prieur/9782021401035
« Champs de Paix », Patrick Charriez
Par la puissance et la beauté de ses mots, illustrés notamment de photographies d’époque, Patrick Charriez réalise dans ce livret une ode poétique à la mémoire des combattants de la Grande Guerre. Le texte se compose de trois parties : champs de guerre, forêts de vie, champs de paix et chants d’amour.
Pour soutenir cet ouvrage :
4 € livre papier et 2,99 € E-book, https://www.bod.fr
« Les monuments aux Morts de la guerre 1914-1918 en Vendée
La mémoire des pierres », Florence Regourd
Une victoire ailée, une femme éplorée, un coq triomphant, un poilu l’arme au pied, ou une simple stèle : les monuments aux Morts font partie du paysage de nos bourgs, en Vendée comme partout en France. Chaque 11 novembre notamment, édiles, enfants et anciens combattants se rassemblent autour de ce haut lieu de la mémoire collective, qui rappelle aujourd’hui ce que fut la guerre de 14 et ses conséquences. Cette « mémoire des pierres » se rattache à des œuvres pour lesquelles les meilleurs artistes ont été sollicités, et au sujet desquelles les discussions ont souvent été animées : choix de la forme du monument, de l’emplacement à lui attribuer, de la manière d’en financer la construction, etc. Ces choix, loin d’être anodins, révèlent les enjeux, parfois même les passions qui se sont développées autour des monuments aux Morts lorsque la mémoire, la politique et la religion s’entrechoquent.
Le livre est abondamment illustré de trois cahiers couleurs : l’un présente les monuments les plus remarquables à l’aide de photographies esthétiques, l’autre les inaugurations de quelques monuments, et le dernier recense tous les monuments aux Morts de Vendée, commune par commune, avec une photographie actuelle et une reproduction d’archives montrant le projet de monument, tel qu’envisagé et/ou adopté.
Pour soutenir l’initiative : Télécharger le bon de commande
Contact : cvrh@wanadoo.fr
« Les Côtes du Nord dans la Guerre 14-18 », Lucien Morin et Jean Rigollot
Deux membres du Souvenir Français sont à l’origine de cet ouvrage qui est avant tout un recueil de photographies. Lucien Morin a recueilli pendant deux ans des photographies dans les ventes aux enchères pour illustrer cet ouvrage de 165 pages qui montre à quel point les Côtes du Nord ont été façonnés par la guerre. De nombreux régiments y sont basés et des stations balnéaires accueillent de nombreux blessés. Par ailleurs, des prisonniers de guerre allemands sont détenus par centaines dans le département.
Pour soutenir cet ouvrage : En vente à la Fnac de Saint-Brieuc, au centre Cultura de Langueux, au centre culturel Leclerc de Plérin, dans les centres Leclerc de Ploufragan, Guingamp et Lamballe à l’Intermarché de Plaintel.
Contact : Jean Rigollot, président du comité du Souvenir Français de Saint-Brieuc, rigollot.jean@wanadoo.fr
« Héros méconnus : 1914-1918 1939-1945 », Association Frères d’Armes
Cet ouvrage d’environ 350 pages, abondamment illustré, présente les opérations auxquelles ont participé, au cours des deux guerres mondiales, les unités connues à l’époque sous le nom de Tirailleurs Sénégalais, Malgaches ou Somalis.
Il présente également un large échantillon d’émouvantes citations collectives ou individuelles décernées aux unités ou aux tirailleurs eux-mêmes. Réalisé et édité par l’Association Frères d’Armes, qui a pour buts, entre autres, d’entretenir et de développer les liens d’amitié entre cadres des armées françaises et ceux des armées étrangères, cet ouvrage rend hommage à ces milliers d’hommes, venus en majorité d’Afrique, qui se sont sacrifiés aux côtés des nôtres pour que, comme l’écrivait le Président SENGHOR, « l’enfant noir et l’enfant blanc aillent désormais la main dans la main ». Dès sa parution, ce livre a connu un très vif succès et s’est affirmé comme un ouvrage de référence. Sa qualité lui a valu de recevoir le prix « Maréchal LYAUTEY », décerné par l’Académie des sciences d’outre-mer. La Côte d’Ivoire, Madagascar, le Niger et le Sénégal ont tenu à récompenser les auteurs en les décorant de leur Ordre National, tandis qu’en France, plusieurs villes s’attachaient à commémorer certains des événements relatés et à honorer la mémoire des tirailleurs les plus valeureux. « Héros Méconnus », qui s’est vu aussi décerner en 2015 le prix du jury des « Trophées du CIDAN », est l’ouvrage que tout bibliophile passionné d’histoire se doit d’acquérir.
Pour soutenir cet ouvrage : disponible au prix de 32,00 € aux bureaux de l’Association ou par correspondance au prix de 37,00 € (frais d’envoi inclus) :
ASSOCIATION FRANCAISE FRERES D’ARMES
Ecole Militaire – Case 59 – 1 place Joffre 75700 Paris SP 07
Tél/fax/répondeur 01 45 51 89 36
Contact : freresdarmes@wanadoo.fr
« Mémorial du centenaire de la Grande Guerre », La Recherche de nos ancêtres-Cercle généalogique de la Vallée du Loing (LARENA 77)
Ce livret présente l’histoire du monument aux Morts du village de Saint-Angle-le-Vieil. Il est un travail collectif destiné à faire connaître les soldats dont les noms sont inscrits sur les monuments aux Morts ou ayant un lien avec la communauté de communes Mort-Seine-et-Loing, ainsi que ceux qui sont décédés dans les hôpitaux du secteur. Les soldats « Mort pour la France » de chaque commune ont été recensés, et les photographies, archives et documents familiaux ont permis de reconstituer leur environnement familial et social. Une fiche a été établie à partir de ces sources. Ce travail de recherches nous permet de mieux comprendre comment ont été élaborées les listes des soldats inscrits sur les monuments.
Contact : contact@larena77.fr
Écrire la biographie d’un soldat de 1914-1918 : l’exemple de Jehan de la Croix
Les commémorations de la Grande Guerre ont incité beaucoup d’entre nous à accomplir un travail de mémoire sur celui ou ceux de leurs ancêtres qui avaient combattu en 1914-1918. Passer à l’écrit pour transmettre à la famille et aux plus jeunes ce qui a été appris sur « le grand-père qui a fait 14 » est un désir de plus en plus partagé.
Cet ouvrage rapporte, à titre d’exemple le parcours d’un officier, Jehan de la Croix de Saint Cyprien, tué en novembre 1914 à Ypres en Belgique, parcours illustré de documents familiaux, de photos, de correspondances…
En même temps, il épaule et conforte, par vingt-trois conseils d’écriture et de mise en forme placés dans des encadrés au fil du livre, tous ceux qui voudraient réaliser un travail similaire pour leurs proches. Il n’y a pas de modèle unique imposé à suivre : les recommandations sont fonction des archives personnelles de chacun, des recherches complémentaires réalisées, du lectorat (la famille proche ou un cercle élargi) et des souhaits de transmission.
Ce livre est donc double, à la fois « livre-lecture », qui fait le récit d’une vie écourtée par la guerre, et
« livre-écriture », qui guidera tous les passionnés d’histoire familiale entreprenant eux aussi un travail de mémoire autour de 1914-1918.
À vos plumes !
Pour soutenir cet ouvrage : https://www.archivesetculture.org/product-page/%C3%A9crire-la-biographie-d-un-soldat-de-1914-1918-l-exemple-de-jehan-de-la-croix-d
L’élégance de vos absences de Gilles Mercier
Un documentaire, un travail de mémoire transmission et de valorisation des archives de la Famille Mercier, relatives notamment au Capitaine Pierre Roger Mercier (1907-1944), le grand père de Gilles, officier de l’armée française et chef régional des maquis d’Auvergne.
Pour soutenir cette initiative : https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/l-elegance-de-vos-absences
Les oubliés chinois de la Grande Guerre réalisé par Régis Prévot et co-écrit par Yael Selbonne
Ce documentaire retrace l’histoire mal-connue des travailleurs chinois pendant la Grande Guerre. Par manque de main d’œuvre, les Français et Britanniques ont fait appel aux travailleurs chinois. Souvent mal accueillis, ces ouvriers rencontraient des conditions difficiles de travail et vivaient un véritable choc culturel. Leur seule trace laissée sur le paysage français, quelques cimetières chinois où reposent ceux qui ont perdu la vie en France.
Pour soutenir ce film : Diffusion les 12 et 16 novembre 2018 sur l’antenne régionale France 3 Hauts-de-France.
« Les traumatismes psychiques de la guerre en 14-18 » par Olivier Farret
Cette conférence donnée par le Médecin-général Olivier Farret du Val-de-Grâce présente les traumatismes de la Grande Guerre et les leçons de ce conflit pour toutes les autres guerres jusqu’à celle du Mali.
Conférence le 6 novembre 2018 au soir à Avon (77).
Contact : chantalantier@orange.fr
Médaille commémorative de René Fonck
A l’occasion du centenaire de l’armistice, il a été créé une médaille intitulée : « René Fonck As des As de la victoire ». Réalisation en bronze doré patiné. Gravure de la cigogne au revers. Médailles numérotées de 1 à 200.
Pour soutenir cette initiative : Télécharger le bon de commande
Contact : Gérard Fonck, fonckgerard@hotmail.fr
Le site mémoriel de Léomont a été dégradé par graffitis. Le site comprend un poilu de la guerre 1914-1918, une table d’orientation et plusieurs panneaux relatant les événements historiques qui se sont déroulés sur ce site en 1914. Le président du comité de Lunéville du Souvenir Français M. Jean-Paul Seichepine a porté plainte ainsi que la commune de Vitrimont et la Communauté de communes du Territoire de Lunéville à Baccarat.
Suppression d’une tombe d’un « Mort pour la France »
La délégation générale du Souvenir Français pour l’Aude a organisé une cérémonie en hommage à Martin Lavric, décédé en 1944 et dont la tombe a été supprimée dans le cimetière communal le 29 septembre 2018. Afin de ne pas oublier ce soldat « Mort pour la Franc », une plaque a été apposée sur l’ossuaire du cimetière de la commune de Salsigne.
Exposition « Entre ombre et lumière », Maison régionale de la Mémoire du Grand Est La première exposition de la Maison régionale de la Mémoire du Grand Est est consacrée aux portraits des Compagnons de la Libération du Grand Est réalisés par Christian Guémy, alias C215, sur les murs de la Maison. L’exposition est ouverte […]
Voir l'article >Retrouvez dans cette rubrique les actions et déplacements du Président général du Souvenir Français pour le mois passé. Vendredi 1er novembre 2024 Inauguration du monument consacré aux Hmongs au Cimetière de l’Est à Rennes. Plus de 100 membres de la communauté Hmong étaient présents à cette cérémonie qui a rappelé le rôle joué par cette […]
Voir l'article >Retrouvez dans cette rubrique l’histoire d’un monument lié à notre thématique mensuelle. Le Monument des fraternisations à Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais) Contexte de création : Depuis le début de la Première Guerre mondiale en 1914, les soldats français et allemands se sont enterrés dans des tranchées, face à face, sur la ligne de front. Au milieu, le no […]
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