On aime, on soutient

29 novembre 2018

Notre coup de cœur du mois

Le comité du Souvenir Français de Marseillan (34) a lancé la réalisation des plaques émaillées portant le portrait des poilus « Mort pour la France » de la commune. Inspirées par les plaques d’époque, ces nouvelles plaques ont été placées sur la nécropole du cimetière communal à côté des anciennes. Le comité a effectué des recherches sur chaque poilu afin de retrouver leurs photographies – 192 combattants « Mort pour la France ». Malgré ces recherches collectives en relation avec l’association généalogique locale, toutes les photos n’ont pas été retrouvées et quelques plaques se présentent sans le portrait du poilu.  Ce projet financé par Le Souvenir Français, les Pompes Funèbres Casanova et la ville de Marseillan s’achèvera en 2020 ou 2021 en fonction des financements.

Photo : Midi Libre

Contact : David Casanova, président du comité du Souvenir Français de Marseillan, davcasa34340@hotmail.fr

 

La mémoire à travers le livre…

Paroles de nos soldats, de Jean-Pierre Guéno

Jean-Pierre Guéno a voulu s’intéresser à nos soldats. A ceux qui risquent en permanence de perdre leur vie et leur âme au service de la collectivité qui les envoie protéger autrui dans nos rues, dans nos villes comme dans les régions du monde où sévit la barbarie. Qu’ils portent un uniforme de soldat, de marin, d’aviateur, de pompier, de gendarme ou de casque bleu, qu’ils soient actifs ou retraités, ces femmes et ces hommes conservent trop souvent dans leur chair ou dans leur esprit la terrible mémoire des traumatismes de l’horreur. Ils ont souvent l’âge de nos enfants ou de nos amis d’école. Ils arborent agrafées sur le cœur les décorations qui peuvent paraitre dérisoires, mais qui constituent la trace objective de leurs parcours. Nous leurs donnons des missions qui accélèrent leur vieillissement. S’ils n’avaient pas d’états d’âme, s’ils pouvaient facilement métaboliser les épreuves que la vie et la mort leur ont réservées, les choses seraient peut-être plus simples. Ce livre essaye d’exprimer leur ressenti, depuis le début du 20ème siècle, mais surtout depuis soixante ans, dans le cadre des Opérations Extérieures (« OPEX ») où ils se trouvent projetés, en ce début de troisième millénaire dans un monde de plus en plus instable. Depuis les poilus de 14-18 jusqu’aux jeunes gens déployés au Mali ou dans les rues de nos villes, depuis le lieutenant Alain-Fournier jusqu’au sergent Yohann Douady, nos soldats sont admirables : puissent ces pages vous en convaincre.

Pour soutenir cet ouvrage : http://www.nouveau-monde.net/livre/?GCOI=84736100411950

 

Les écrivains dans la Grande Guerre de l’Association des Écrivains Combattants

 En juin 1919, à l’initiative de Henry Malherbe, Maurice Genevoix et Roland Dorgelès notamment, quatre-vingts écrivains rescapés de la Grande Guerre se rassemblent pour fonder l’Association des écrivains combattants (AEC). Leur objectif ? Rendre hommage et préserver la mémoire des hommes de lettres morts au champ d’honneur ; créer et renforcer les liens entre les survivants. Parmi eux, des personnalités déjà connues : Guillaume Apollinaire, Charles Péguy, Alain-Fournier, Louis Pergaud, mais, pour la plupart, des jeunes talents inconnus. Au total : 560 disparus. L’AEC leur consacrera en 1926 une Anthologie en cinq volumes et 4 000 pages. Elle obtiendra, en 1927, que leurs noms soient gravés sur les murs du Panthéon. Après cent ans d’existence, l’AEC reste bien vivante. Elle honore les disparus, encourage la création littéraire en attribuant des prix et suscite l’intérêt des jeunes en les associant à ses manifestations. À l’occasion du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918, cet ouvrage collectif montre la diversité des écrivains qui firent pour la France le sacrifice de leur vie : universitaires, autodidactes, prêtres, ultra-marins, étrangers, jeunes et vétérans.

Ce livre de ferveur se veut un rempart contre l’oubli. Sous la direction de Didier Béoutis et Sophie Hasquenoph

Préface de Jean Orizet et postface de Serge Barcellini.

Pour soutenir cette initiative : http://www.editions-glyphe.com/livre/3994/

 

Faut-il recréer un service national ? Ouvrage sous la direction de Pierre Pascallon

Le club Participation et Progrès s’est intéressé aux modifications introduites dans la conscription par Jacques Chirac, avec la suspension de l’appel sous les drapeaux des jeunes Français en 1997. Il a depuis, spécialement durant la présidentielle de 2007, participé activement aux débats sur le service civil volontaire. Ce thème revient, en lien notamment avec la protection de la nation contre le terrorisme.

Pierre Pascallon est professeur agrégé de faculté. Ancien parlementaire, il anime depuis une vingtaine d’années le club Participation et Progrès, structure de rencontre ouverte et reconnue dans le paysage français actuel des organismes et des institutions s’intéressant aux questions de défense et aux problèmes militaires.

Pour soutenir cette publication : http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=60804

 

Martigues 14-18 de Nicolas Balique

Martigues en 1914 : une petite ville du Midi de 7500 habitants. Parmi eux, quelques 1200 hommes mobilisés dont près de 200 ne regagnèrent jamais leur foyer.

Jeunes pour la plupart, partis pour une guerre qu’ils croyaient courte, tous furent confrontés à un conflit d’une violence inimaginable. Qui étaient ces pêcheurs, paysans, employés ou ouvriers mobilisés ?

Comment la population de Martigues a-t-elle vécu, de l’arrière, leur absence ?

Quelles furent pour la ville les conséquences d’une guerre qui devait être «la der des ders » ?

A partir des Archives communales, de celles du département des Bouches-du-Rhône, des sources du Ministère de la Défense et de fonds privées, ce livre retrace, au ras du sol, c’est-à-dire des tranchées où les soldats vivaient terrés ou du pont des navires sur lesquels les marins servaient, la Grande Guerre telle qu’elle fut vécue par les mobilisés martégaux.

Nicolas Balique, journaliste et historien militaire, mène depuis plusieurs années des recherches en histoire contemporaine principalement axés sur les deux conflits mondiaux. Il est actuellement chargé de mission « histoire et mémoire d’habitants » pour la ville de Martigues.

Pour soutenir cette publication : https://sites.google.com/site/gausseneditions/company-blog/publication/martigues-1914-1918

 

Champs de bataille de la Première Guerre mondiale – guide Michelin

Les conflits contemporains ont laissé en France un important patrimoine mémoriel, contribuant ainsi à la transmission du passé et à éveiller la conscience civique. Ce guide réunit dans un seul ouvrage les sites les plus marquants du front ouest, issus des 6 titres de la collection des guides illustrés Michelin des Champs de bataille. Il présente plus de 340 lieux répartis sur le front ouest, de l’Alsace à la Belgique, une introduction générale sur la Grande Guerre ainsi qu’une carte détachable avec la localisation des sites.

Pour soutenir cet ouvrage :  https://www.amazon.fr/France-champs-bataille-1914-1918/dp/2067236156/ref=sr_1_4?s=books&ie=UTF8&qid=1542019066&sr=1-4&keywords=guide+champs+de+bataille+michelin&refinements=p_n_binding_browse-bin%3A3973586031

 

Ouvrage collectif – Perpignan pendant la Première Guerre mondiale

De 1914 à 1918, 1 170 Perpignanais sont morts au front sur une population d’environ 40 000 habitants. Cela ne fut pas sans laisser de traces dans les cœurs, mais aussi dans la ville.

Si cet ouvrage perpétue le souvenir des combattants et leur rend hommage, il n’oublie pas ceux qui restent à l’arrière. En effet, Perpignan a accueilli et soigné beaucoup de blessés. Sa population sous l’impulsion de la section perpignanaise de la Croix-Rouge française, du maire, Joseph Denis et de l’évêque, monseigneur de Carsalade du Pont, s’est fortement mobilisée pour soutenir l’effort de guerre et accueillir les réfugiés. La vie continuait, mais différemment que ce soit sur le plan social, économique ou culturel.

L’histoire de Perpignan pendant la Grande Guerre n’avait pas, jusqu’à ce jour, intéressé beaucoup d’historiens locaux. La ville de Perpignan, dans le cadre des actions impulsées par la mission Centenaire dans les Pyrénées-Orientales, a œuvré pour rassembler une vingtaine de chercheurs de tous horizons et combler ce vide. Ainsi, universitaires, historiens militaires, journalistes, généalogistes, présidents et membres d’associations, conservateurs et archivistes, ont travaillé sur des thèmes variés pour que désormais, la Première Guerre mondiale à Perpignan prenne sens dans l’histoire.

Pour soutenir cet ouvrage : https://www.editions-sutton.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=61091

 

Dictionnaire des opérations extérieures de l’armée française : de 1963 à nos jours, ouvrage sous la direction de Philippe Chapleau et Jean-Marc Marill

 Depuis plus de cinquante ans, la France est engagée dans des opérations extérieures partout dans le monde.

Rassembler l’état des savoirs sur ces « OPEX », c’est ce que propose ce livre, inédit par son format et la période couverte.

Chaque zone de conflit ou d’opération humanitaire est présentée et expliquée dans sa globalité ; chaque opération bénéficie d’une notice dédiée sur les causes et les conditions de l’intervention, la conduite des opérations et ses suites. Une partie thématique permet de traiter des « moyens et environnement » nécessaires au déroulement d’une OPEX : elle rassemble approche capacitaire (« projection des forces / de puissance »), armements (« Drones (parc / usage) »,  » Mirage IV »), organisation (« Planification »,  » Retex »), logistique (« Blessés ») et aspects plus politiques (« Médias, médiatisations et OPEX »).

L’ensemble, rédigé par près de quarante spécialistes, richement illustré grâce aux collections de l’ECPAD et d’archives privées, offre une référence sans équivalent en histoire militaire.

Ce livre est réalisé en coédition avec le ministère des Armées, Direction des patrimoines, de la mémoire et des archives (DPMA), et l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD).

Préface du général d’armée François Lecointre, chef d’état-major des armées

Pour soutenir cet ouvrage : https://boutique.ecpad.fr/forces-armees/227-dictionnaire-des-operations-exterieures-de-l-armee-francaise-de-1963-a-nos-jours.html

 

Souvenir de la Grande Guerre Général Henri Mathias Berthelot

 

Après les Joffre, Foch, Castelnau, Gouraud, Mangin, Franchet d’Espèrey, Gallieni, Lyautey, Berthelot est l’un des officiers généraux les plus importants de cette immense tragédie, mais aussi de cette gigantesque aventure collective que constitua la Première Guerre mondiale. Ces hommes ont occupé des fonctions qui les rendaient responsables de milliers, voire de centaines de milliers de destins individuels, parfois sacrifiés pour ce qu’ils croyaient être le bien commun : la Victoire. Il est difficile aujourd’hui de se replacer dans le contexte d’une époque encore relativement proche et pourtant si différente, par bien des aspects, de la nôtre. Des documents comme ce Journal nous y aident ; ils nous permettent de cerner l’état d’esprit et les motivations des  » grands chefs « , comme on les appelait alors. Ces souvenirs fourmillent d’informations sur les événements tels que le Grand Quartier Général pouvait les apprécier, les circuits de décision, les rivalités entre les uns et les autres, la difficile entente avec les Britanniques, les erreurs du commandement aussi. Les acteurs du drame y apparaissent avec leur grandeur et leurs faiblesses, en un moment unique, celui où mourait vraiment l’Ancien Régime et naissait le XXe siècle, celui de la démesure en toute chose.

Premier aide-major général de Joffre chargé des opérations en 1914, Henri Mathias Berthelot (1861-1931) se trouve au cœur de la fournaise à Verdun, dès mars 1916, où il doit défendre puis reprendre le Mort-Homme et la cote 304. En octobre, il est chargé de la mission militaire française en Roumanie. En juillet 1918, Foch lui confie le commandement de la 5e armée. En octobre, il est envoyé à nouveau en Roumanie pour contenir la pression révolutionnaire. Gouverneur militaire de Metz (1919-1922) puis de Strasbourg (1923-1926), il est membre du Conseil supérieur de Guerre (1920-1926), où il participe à la décision de construction de la ligne Maginot. Préface de Jean-Noël Grandhomme.

Pour soutenir cet ouvrage : http://www.editions-des-paraiges.eu/magasin/page17.html

 

Le Journal inédit de l’Armistice 14-18 par l’interprète de FOCH, le Capitaine Paul Laperche

Si les témoignages sur la terrible guerre sont nombreux, il n’en existe pour ainsi dire aucun sur l’événement qui va y mettre fin : l’armistice.

Les quelques photographies des trains des délégations alliées et allemandes nous permettent bien de visualiser le site de la clairière de Rethondes, mais aucun photographe ni journaliste n’a pu pénétrer à l’intérieur du wagon. Les seules informations dont nous disposons proviennent des participants aux réunions.

Parmi ces personnes les plénipotentiaires avec, occasionnellement, quelques conseillers, et Paul Laperche, le seul interprète présent.

Mobilisé en août 14, le Sergent Laperche est l’interprète en 1916 des médecins des camps de prisonniers allemands de l’Est de la Somme. Il rejoindra le Grand Quartier Général de Foch quand celui-ci est nommé Commandant en chef des Armées Alliées en mars 1918 à Doullens.

Quelques mois plus tard l’Allemagne capitule et délègue ses plénipotentiaires à Rethondes près de Compiègne où ils vont écouter, résignés, les conditions de l’Armistice dictées par les Alliés. Lors de la 1ère réunion du 8 novembre Foch récuse von Helldorf, l’interprète allemand, et impose Paul Laperche comme seul et unique interprète des discussions.

Du 7 novembre 1918 au 16 avril 1919, Paul Laperche note dans un journal, presque minute par minute, tous les préparatifs de l’Armistice et des autres réunions qui s’ensuivent à Spa, Trèves ou Versailles.

De ces 126 pages manuscrites, Paul Laperche, une fois démobilisé, transcrit sur un document tapuscrit la période allant du 7 au 11 novembre.

Ce texte inédit nous emmène dans les coulisses de l’armistice ; avec force détails, l’interprète décrit des situations cocasses ou amusantes mais également émouvantes et surprenantes comme lors de la première réunion du 8 novembre quand Foch lance aux représentants allemands : « Messieurs, quel est l’objet de votre visite ? ».

Près de 100 ans après l’armistice, l’association « Démucher » créée en 2010 publie les souvenirs personnels de cet homme qui fut pendant quelques jours le trait d’union entre deux nations que la haine et la vengeance séparaient.

Pour soutenir cet ouvrage : http://www.demucher.fr/2018/08/29/paul-laperche/

 

De Solférino à Bazeilles de Guy Sallat

Après Bazeilles, la Gloire, le sang et le feu (Prix de l’Epaulette 2016), Guy Sallat poursuit son exploration d’une époque passionnante et souvent méconnue qui va de la Royauté au Second Empire en passant par la première République et la Commune. Pour ce faire, il donne la parole à un vieux soldat qui a posé les armes, et il conte de façon vivante et de l’intérieur cette période.

Comme le souligne le général Lecointre dans sa préface: « La valeur et l’héroïsme des officiers, comme des soldats, ne parviennent pas à compenser les effets d’une frilosité du corps législatif qui ont conduit à renoncer à la réforme des armées portée par Napoléon III et le Maréchal Niel. Relire l’histoire militaire du Second Empire, c’est garder à l’esprit qu’une armée puissante, exigeant le maximum de ses hommes et capable d’intervenir au plus loin, dans des contextes très variés, peut malgré tout s’effondrer brutalement sur son propre sol, faute d’avoir su préserver les principes fondamentaux qui lui confèrent la capacité à agir, en autonomie, dans l’incertitude et le chaos, pour l’emporter. »

Cet ouvrage de 284 pages (25 €) sera présenté au salon du livre d’histoire organisé au cercle national des armées le 6 décembre.

Les droits d’auteur de l’ouvrage qui est publié par les Editions OD2C seront reversés aux blessés et veuves de guerre des armées.

Pour soutenir cet ouvrage : Disponible à la commande chez tous les libraires et en ligne, ainsi que directement chez l’éditeur : contact@od2c.eu (avec 5% de remise et livraison gratuite).

 

Champs de Paix de Patrick Charriez

 

Par la puissance et la beauté de ses mots, illustrés notamment de photographies d’époque, Patrick Charriez réalise dans ce livret une ode poétique à la mémoire des combattants de la Grande Guerre. Le texte se compose de trois parties : champs de guerre, forêts de vie, champs de paix et chants d’amour.

Pour soutenir cet ouvrage :

4 € livre papier et 2,99 € E-book, https://www.bod.fr

 

La mémoire à travers le film. . .

A l’occasion du centenaire de l’armistice du 11 novembre 1918, les troupes de montagne en partenariat avec le Souvenir Français de Savoie et l’Académie de Savoie, ont organisé, à Chambéry, un triptyque, à savoir :

– Une exposition sur les Troupes de Montagne qui s’est tenue du 6 au 11 novembre

– Une prise d’armes et un défilé de l’ensemble des Unités de la 27ème Brigade d’Infanterie de Montagne, le 10 novembre après-midi

– Une évocation historique et musicale retraçant les faits d’armes des Troupes de Montagne au cours de la Grande Guerre, le 10 novembre en soirée

La Délégation Générale du Souvenir Français de la Savoie a filmé ces événements et vous propose un DVD en 3 chapitres ; les 2 premiers d’environ 50 minutes chacun et le spectacle dans son intégralité soit environ 2 heures.

Pour soutenir cette initiative : Télécharger le bon de commande

Contact : 73@dgsf.fr

 

Appel à la vigilance

Le Souvenir Français a mené la campagne afin de rénover le monument à la reconnaissance de la France à Belgrade fortement symbolique de l’amitié franco-serbe. Totalement rénové, le monument a été fortement tagué après le 11 novembre dans le cadre de la polémique née à la suite de la contestation par le Président serbe de sa place protocolaire lors des cérémonies à l’Arc de triomphe.

 

Vandalisation de la stèle Christian Moench

Le médaillon de bronze portant le portrait de l’aviateur Christian Moench sur la stèle en son honneur au plateau de Malzéville a été volé. L’association Christian Moench s’engage à rétablir le portrait en sculptant l’effigie du pilote directement sur la pierre.

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